La chapelle de la Licorne Noire. [pv Risa]

Quelques semaine avait passé depuis les aux revoir d’avec Risa

La chapelle était petite. Sur les bancs placés de part et d’autre du petit couloir central, dans l’obscurité de ces lieus vides une silhouette était là.

La forme étrange et de dos, portait une très grande cape rouge sang. C’était un chevalier qui semblait avancer. Ceux qui l’avaient connu l’appelaient Zircovald Crâne mais il était presque méconnaissable. Son visage portait un masque qui couvrait la moitié de sa joue et de son œil droit. Un pan de sa cape cachait son bras droit ainsi que sa jambe. Dans son dos, où siégeaient autrefois d’immenses ailes noires, aujourd’hui seul celle de gauche demeurait. L’autre avait été comma arrachée. Comme si un géants l’avait attrapé et déchiré dans un certain sadisme. La corne sur le front du garçon avait été brisée comme du cristal. Il n’en restait que quelque fragment ressemblant s’avantage à des bouts de verre brisé.

Le visage tuméfié et en sueur, le paladin avançait en trainant manifestement sa jambe droite. Une grand partie de son armure avait volée en éclat, dont certains petit bouts de métal avait fini dans la chaire pâle. Devant, lui, un calice de pierre blanche à quelques mètres scellés dans la pierre. De l’œil du masque coulait le sang et à chaque pas, le chevalier laissait derrière lui une trainée de sang dont la cape trainante répandait le liquide visqueux. Les longs cheveux du garçon étaient ébouriffés et se laissaient aller dodelinant aux files de la claudication de Zircovald. La respiration était fragile et tremblante, le regard perdu dans un état second…

Qu'est-ce qui pouvait bien amener Risa dans les marais ? Va savoir l'idée tordue que la jeune fille avait en tête à ce moment là, survolant les lieux qui sentait d'ailleurs pas très bon, l'ange regardait anxieusement le marais noséabon qui s'étendait sur des dizaines de kilomètres au moins. Après avoir volé pendant assez longtemps, Risa trouva un petit bout de terre moins humide que les autres. Cette dernière finit par s'y poser doucement, soudian uen sensation étrange vint chatouiller ses membres, ce n'était pas possible, c'était tout à fait extraordinaire. Sa présence, elle pouvait la sentir parfaitement, son aura bien que quelques interférences empèchent de savoir exactement ou il était. Cela faisait quelques semaines depuis le départ de Zircovald et maintenant, elle le sentait, il n'était qu'à une vinghtaine de kilomètres et Risa s'empréssa de s'envoler à nouveau et de suivre son instinct qui ne la trompait jamais.
Une petite chapelle se trouvait devant Risa quand cette dernière avait mit pied à terre, la jeune fille imagina tous les plans au cas ou quelqu'un serait en compagnie de son bien aimé. L'ange s'empressa d'ouvrir la porte mais à sa grande surprise, la pièce était baignée dans l'obscurité, mais ça ne faisait aucun doute, il était là. L'ombre était plus loin mais, quand elle avança d'un pas rapide, heureuse qu'il soit encore vivant, Risa marcha dans une flaque de sang qui éclaboussa sa petit robe noir et sa peau blanche. Elle savait que c'était son sang alors, elle s'approcha encore, se demandant si cé'tait bien lui pourtant cette aura était la même. Elle dit alors d'un ton doux mais heureux à la foix :

"Zircovald...C'est toi, tu es en..."

Là plus un son ne voulu sortir de la bouche de Risa, elle était juste derrière lui, voyant son aile déchiquetée comme si quelqu'un lui avait mangée. Le sang, cette odeur commençait à s'étaller dans la pièce, en plsu de sa respiration qui était lourde et faible. elle avait peur de le toucher, c'était comme s'il avait subis une transformation, il n'était plus le même physiquement mais mentalement surement encore. Elle avait pas encore vu son visage mais Risa n'avait qu'une envie c'était de sentir à nouveau son odeur alors elle l'enlaça par derrière. Seulement quand elle sentit le sang sur ses doigts et des bouts de métal plantés dans la chair de Zircovald, Risa le lacha et ne pu rien faire d'autre mis à part être pétrifiée, du moins pour le moment.

Le garçon sentit le parfum de Risa… Son aimée… Celle pour qui il était toujours en vie. L’étreinte aussi douce et aimante fut elle lui fit mal. Ses plaies étaient à vif et il eut du mal à se retourner pour voir sa douce. Son masque le cuisait. Il porta sa main à ce dernier et le retira. Son œil droit était mort et la partie de son visage brulé comme par les feux de l’enfer. d'une voix à peine audible il dit:

Risa… Ne… ne me regarde pas….

En se retournant, il trébucha sur sa cape qui se déchira en lambeau dévoilant le reste de son corps. Sa jambe droite avait été transpercée de part en part et son bras droit sectionné. Pourtant, il la regardait toujours de la même façon, avec la même tendresse, le même amour. Pourtant, il se détourna pour ne pas qu’elle le voit d’avantage.

Là, il était là… Tout près… le calice de sa résurrection et de sa malédiction. Il tendit sa main gauche dans sa direction. Il n’était qu’à quelques mètres mais le calice scellé dans la pierre ne pouvait être bougé. Un pas, puis deux, dans une lenteur infinie. Il toussa un instant et tout son corps fragile tressaillit. Un filet de sang jaillit de sa bouche mais il continua à avancer sans relâche.

Tout ce qu'elle voulait, c'était le toucher à nouveau, ça faisait trop longtemps pour Risa, sans le voir sans lui parler, sans sentir son souffle sur sa peau ou son odeur si douce soit-elle. L'ange savait très bien que lorsqu'elle venait de l'enlacer, ça venait de lui faire mal, Zircovald avait encore des plaies toute fraiche, qui devait être bien profondes . Un bruit de métal tombant lourdement sur le sol se fit entendre, Risa entendit également la voix de son amant qui était à peine plus forte que celle d'un mourant. Ne pas le regarder? pourquoi ça, peu être avait-il vraiment changé, mais même si c'était le cas comme elle pouvait déjà sans douter de dos, ce n'était pas ça le plus important non ? Finalement Zircovald lui donna l'honneur de se retourner, son visage était si blessé et son corps était encore pire, une dur bataille, trop douloureuse surement. Risa n'en revenait pas, ses yeux restaient écarquillés comme venant de voir un mort renaitre devant cette dernière. Des larmes coulèrent le long de ses joues, non pas parce qu'il avait changé mais par culpabilité, c'était de sa faute s'il était dans cet état. Le paladin se retourna et continua sa marche vers l'objet tant recherché, là s'en était de trop de le voir ainsi souffrir alors Risa l'arrêta en le prenant par le bras le plus doucement possible faisant caresser ses ailes sur ses membres fragiles. Zircovald crachait du sang, ça devenait grave, alors se mettant devant lui, elle posa ses mains sur ses joues lâchant son bras fébrile et lui disant un léger sourire aux lèvres :

"Arrête ça tout de suite, tu te fais du mal, tu peux encore attendre, repose toi, je ne supporte pas de te voir ainsi je vais te soigner, assied toi plus loin..."

Les attentions de Risa touchèrent le garçon. Son parfum, son contact tout en elle lui avait tellement manqué. Evidement, le regard de l’ange était troublé par l’émotion et peut-être, l’horreur de ce qui était arrivé à Zircovald. La caresse fut légère et tendre. Le paladin répondit.

Risa…. Je dois y arriver…. C’est la seul chose qui puisse me guérir des blessures démoniaques…

Le jeune homme écarta doucement Risa pour avancer. Il arriva enfin au calice. Là brillait une eau étrange à la fois transparente et étincelante. Il n’avait plus le choix, il le savait. C’était le prix à payer pour la résurrection total de son corps, sans doute, une immortalité douloureuse. Etrangement, le réceptacle d’ordinaire vide c’était remplit à sa venu. La Licorne avait-elle sentit qu’elle perdait son dernier fils ? Touchant du bout des lèvres le contenu du calice, une colonne de lumière s’abattit sur le paladin, une colonne aveuglante qui embrasa complètement le corps du chevalier jusqu’à le faire disparaitre.

Quelques secondes s’écoulèrent. Risa retrouve peu à peu la vue. Devant elle, un jeune homme familier. Il se tenait debout, regardant ses mains et son corps. L’ange le reconnu par instinct. C’était bien Zircovald, plus beau encore qu’il ne le fut. Il était légèrement différent mais son odeur, son regard… étaient toujours les même.

Un étrange sentiment survint dans le cœur de Risa, il y avait quelque chose dans cette chapelle qui ne semblait pas vraiment venir de ce monde. Après que Zircovald est poussé la jeune fille de son chemin pour atteindre le calice, une douce sensation puis plus rien avant que le paladin boive l'eau sacrée. Là une lumière bien plus forte que celle du soleil et plus puissante que toutes autres entoura Zircovald et l'avale dans un bruit sourd. Pendant un instant Risa n'avait pas vu l'action mais elle se repérait à la présence de son aimé qui la guidait à travers la lumière aveuglante. Un seul petit instant ou son aura avait disparu puis après queqlues secondes une ombre et enfin un corps se tenait devant cette dernière. Un sourire s'afficha sur les lèvres de Risa, rien qu'en sentant son chakra s'étaler dans la pièce. Zircovald était pourtant différent comme une nouvelle enveloppe charnelle mais encore plus belle mais on aurait dit ne pleine forme même si un moment celle-ci avait cru à sa disparition, engloutit par la puissance. Risa s'avança doucement puis le regarda profondément dans les yeux avant de caresser du bout des doigts son visage effleurant chaque petit morceau de peau avant de lui dire gentiment, les larmes aux yeux :

"Zircovald c'est bien toi...Tu vas bien, tu es en vie j'en suis heureuse..."

C’était fait… Zircovald avait bût ce qui était interdit… Le sang de la licorne qui offrait pouvoir et malédiction. Le garçon regarda Risa. Il resta étrangement muet. La jeune fille sentit les mains du garçon entourer sa taille avec fermeté mais sans violence et d’un coup, le garçon embrassa fougueusement l’ange. Risa sentit la langue du garçon fondre avec la sienne lui offrant un baiser torride et terriblement érotique. La jeune femme pouvait entrevoir une autre force, une puissance cramique immense comme un océan déferlant sur le monde. Le nouvel être du chevalier parut redécouvrir la belle dans ses formes, ses rondeurs et sa douceur. Il sentait la petite langue de son ange courir avec délice sur le sienne, cette même langue qui à leur première union avait caressé son sexe avec un succulent plaisir sensuel. Puis, il se détacha d’elle mais la tint toujours dans ses bras.
Risa était petite et avait avec grâce tendant à se mettre sur la pointe des pieds pour l’embrasser ce qui la rendait mignonne et attirante.

J’ai enfin le pouvoir de te délivrer Risa… Il suffit que tu me face assez confiance pour confier ta vie et ton âme…

Un sourire certain c’était affiché puis il reprit.

Tu décideras quant tu seras prête mais pour l’heure parlons d’autre chose, car je sais que ce sujet te mets mal à l’aise…

Comme pour éviter qu’elle ne replonge dans ses pensées, sur ses choix etc. Zircovad posa une main sur les fesses de la belle et lui donna un petit coup de langue sur le joue pour la distraire.

Alors dis moi ma bien aimée, as-tu un désir ?

Zircovald semblait quand même anxieux mais pour quelles raisons ? Parce qu'il avait bu dans le calice ? Ou alors pour ce changement soudain, une toute autre énergie, plus puissante, plus forte et profonde émergeait du garçon, c'était étrange. Bien qu'il est eut des changements, son regard était toujours le même et toujours aussi mystérieux et doux, elle l'aimait vraiment. Les mains de ce dernier vinrent enlacer sa taille pour lui donner un baiser fou, qui lui plaisait toujours autant, ça faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas dansé avec sa langue. Risa aimait sa façon si sensuel de l'embrasser, ses petites mains caressèrent ses cheveux avant d'effleurer sa douce peau, et de la laisser sur ses joues . Risa le regarda enfin dans les yeux après qu'il se soit un peu écarter, cette dernière l'écouta attentivement puis baissa la tête, avant qu'il ne dise de changer de sujet vu son mal aise. Elle en sourit satisfaite. Ses pensées allaient doucement se plonger dans une longue réflexion quand la main de son aimé vint se poser sur ses fesses, elle en rougit mais se rappela le bon moment passé avec lui dans l'herbe verte. Encore une intense chaleur avec sa langue alors elle lui sourit et répondit :

"Tu m'as tellement manqué Zircovald, ton corps aussi, j'en rêvais même parfois. Un désir ? Tu sais que je te désire tout entier...donc...Et toi en as-tu un ?"

Risa lui sourit en rougissant timidement avant de passer ses mains dans le dos de Zircovald et de les descendre caressant de bout des doigts chaque petites parties. Ce corps si chaud lui donnait vraiment envie, c'était comme s'en être privé pendant trop longtemps et que maintenant elle l'aimait plus que jamais ce qui était le cas.

Le garçon sourit en prenant le menton de la belle. Elle était rouge comme une pivoine et ses yeux trahissaient son désir.

Je n’ai d’autre désir que celui de te combler Risa.

Il l’embrassa sensuellement de nouveau, goutant à la salive de sa bien aimée et faisant enlacer leurs langues. Le chevalier prit l’habitude de toucher la langue de Risa juste avec le bout de la sienne pour la taquiner et la rendre plus sensible lors des contacts prolongés.
Lentement, la jeune femme sentit une main glisser sous ses sous-vêtements, un doigt frola son anus et continua sa course pour caresser la petite orchidée. Zircovald se rappela de la douce chaleur des cuisses de sa belle et de son intimité si fragile. Il ne fit aucun geste pour la pénétrer, il se contentait de la caresser tres lentement. Le paladin mordilla le lobe de l’oreille de la belle avant de grisser ses lèvres dans son cou. Il sentait la jugulaire de Risa pulser au même rythme que les battements de son cœur.

Puis, au fur et à mesur, les doigts du chevalier ressentir le miel du sexe de Risa affluer. Il se détacha d’elle doucement pour lui dire :

Je suis à toi Risa. Alors, comble ton désir…

Toujours la même sensation à son contact, sa façon de parler était toujours aussi douce et ça la faisait toujours sourire timidement. Zircovald n’avait pas du tout changé, ses baisers étaient toujours aussi sucrés et profonds, comme un biscuit qui fond sous la langue. Risa se laissait docilement faire par la tendresse et le savoir faire de son amant qui commençait à avoir l’habitude de parcourir son corps. Ce dernier ne se priva d’aller caressé l’intimidé de la jeune femme, ce qui ne lui déplaisait pas le moins du monde au contraire. Ses gestes étaient toujours aussi doux et minutieux, ce qui la fit rougir timidement à cause du plaisir qu’elle éprouvait de plus en plus. Ses mains enlevèrent le haut de Zircovald doucement pour sentir sa chaleur qui devait être la même si ce n’est pas plus chaude encore. Le frôlement des doigts de Risa parcourait son torse, retraçant ses muscles toujours aussi bien dessiner, embrassant ses lèvres langoureusement et descendant voir sa peau de miel. Pendant que le paladin lui soufflait ses propos, elle en sourit et lui répondit sincèrement sans gêne :

« Mon désir est tien et j’ai envie de faire à nouveau l’amour avec toi mais peu être devrais-tu te reposer avant, vu les dures épreuves que tu as vécues et que tu as du surmonter. »

Elle le regarda dans els yeux amoureusement avant de se coller à lui laissant ses mains vers la ceinture du jeune homme.

Le jeune homme fit un hochement de tête négatif tout en continuant ses caresses.

Mon repos sera ton corps douce Risa.

La jeune femme sentit sa robe glisser à terre pour la découvrir. Zircovald caressa lentement de sa langue le dessus ses seins rebondit pour descendre jusqu’aux mamelons et tendrement les titiller. La main caressant l’intimité de Risa ne cessait pas d’aller et venir entre le deux petites lèvres chaude prenant un instant pour en taquiner la petite perle. Les joues rosies de l’ange la rendait encore plus désirable et tout son petit cops semblait avouer son plaisir.

Il sentit les mains sur sa ceinture s’empressant de vouloir sa verge gonfler par le désir. Il sourit à Risa pour lui signifier de continuer.

Risa… Je déplorais que tu tombe sous l’effet du plaisir. Allonge-toi sur ma cape.

La belle sentit un doigt la pénétrer lentement dans son être effectuant des allez et retour dans la chaleur humide de sa fleur.

Zircovald se reposerait plus tard sûrement, son corps était un peu sa récompense, mais ça ne lui était pas déplaisant, au contraire. Risa désirait son corps intensément. Doucement, la jeune femme fut dénudée, laissant à nouveau son corps aux yeux de son amant. Continuant son geste intimement et lui procurant un doux plaisir, Risa rougit timidement à ses fines caresses, elle se rappelait parfaitement de son touché, de son contact et de son amour dans ses gestes. Le paladin arrivait toujours à la rendre bien plus qu’heureuse et cette dernière voulait lui rendre son affection. Alors après le signe de tête de Zircovald, la jeune femme fit descendre doucement le pantalon du garçon et ce qui restait pour admirait son corps nu finement dessiner, laissant apparaître ses magnifiques muscles. Risa caressa son torse et l’embrassa tendrement, avant de frôler du bout des doigts ses cuisses, sentant se faire pénétrer par l’un des doigts du garçon, ce qui al fit légèrement gémir. Écoutant les propos du paladin, cette dernière attira avec elle son aimé sur la cape, se laissant prendre son aise sur ce dernier. Elle lui murmura doucement à l’oreille avant de l’embrasser de pleines bouches :

"Je te remercie mon amour."

D’une main, elle prit doucement le membre de Zircovald et fit de lent va et viens, soigneusement cette dernière accéléra le rythme pour que son plaisir soit plus intense.

Le doigts de Risa caressait la verge dure, formant un cercle délicat qui allait et venait sur le membre doucement puis plus rapidement pour faire naître le plaisir. Le garçon était tout près de la belle lui prodiguant le même plaisir en pénétrant le petite rose humide. La chaleur et rougeur du corps de l’ange dévoilait son envie. Les petits seins dressés fièrement prêt à être l’objet d’attention les plus sensibles et les plus douces. Lune main du garçon vint pincer un mamelon, le titillant avec une sensualité dévorante visant à rendre Risa folle de désir. Elle sentait la langue que son amant parcourir son buste, sa bouche comme si il voulait gouter chaque parcelle de peau. De l’autre côté, les cuisses de Risa s’écartaient pour offrir l’orchidée aux caresses veloutées. Les yeux mit clos de la belle laissait voir le plaisir aussi surement qu’elle en donnait. Zircovald lui mordilla lentement le lobe de l’oreille et demanda sur un ton coquin.

Que désir faire la dame de son chevalier ?

( Désolé du retard j'étais interne pour une fois. )

Les caresses continuelles de son amant la pénétrant doucement, la faisait de plus en plus rougir et produire de léger gémissement, cacher par cette dernière. Son corps commençait à devenir plus chaud et au fur et à mesure que Zircovald parcourait sa poitrine, Risa accélérait les mouvements de vas et viens pour que celui-ci apprécie encore plus l'instant présent. Les paroles coquines de son aimé la fit sourire, laissant encore plus voir son plaisir. Risa embrassa fougueusement le paladin avant de lécher le torse de Zircovald descendant vers son membre dressé. Elle savait très bien ce qu'il attendait, elle voulait lui montrer dans le moindre de ses gestes l'amour qu'elle éprouvait pour lui. Avant de déposer ses lèvres pulpeuses formant un cercle sur la verge de Zircovald, la jeune femme lui murmura doucement :

"Elle désire écosser ses souhaits et lui faire plaisir."

Après ses propos Risa exécuta ses propos, parcourant avec sa langue le membre de ce dernier et en même temps caressant le dos de Zircovald jusqu'à son magnifique fessier.

Risa savait trouver les mots et les caresses. Sentir la petite langue de l’ange sur son sexe, sa bouche réclamant le membre viril rendait le chevalier encore plus exciter. Risa aimait ce troublant contact dont elle avait sut la première fois extraire le jus du fruit pour le faire couler entre ses lèvres jusqu’à sa gorge. L’homme passa ses mains sur la nuque de la belle, plongeant ainsi ses doigts dans les longs cheveux de la belle. L’ange pouvait sentir l’extrême fermeté du sexe et sa douceur qui tôt ou tard finirait par délivrer le liquide épais et chaud de ses envies. Lentement, Zircovald caressa la joue de la belle tandis que la langue de cette dernière glissait avec sensualité sur la verge gonflée.

J’espère que tu prend autant de plaisir que moi mon ange.

Dit-il d’une voix douce et calme en la regardant faire. Il savait très bien que l’intimité de la belle brulait de désir. Que Risa se perdrait sans doute dans la folie de leur ébats laissant leurs intimités contrôler leur plaisir…

» Risa Ushiwa
» PB de RP pour Risa et Saratar