L'Arrivée

Le paladin la regarda avec un sourire entendu. Il prit la main de la jeune demoiselle et lui répondit avec douceur.

Vous êtes peut-être les deux aussi…

Puis, il la vis s’endormir. Le garçon la regardait de ses deux yeux de fauve. Elle semblait n’avoir aucune crainte de lui. C’était une grande forme de confiance que de dormir dans les bras de quelque un Pour Ayla, cela semblait des plus naturel. Aussi, le garçon s’installa confortablement pour le regarder dormir contre lui. Elle était vraiment magnifique avec ses petits yeux clos et sa bouche rose légèrement entre ouverte pour respirer.
Zircovald veilla donc sur le sommeil de l’être ailé en silence, lui apportant la sérénité qu’elle cherchait tant.

Ayla rêvait, elle rêvait de l'Ange qu'elle avait rencontré il y a si longtemps... Du désespoir qui l'emplissait quand elle revivait cette scène dans ses rêve... Elle revit l'Ange partir dans le ciel magnifique... Elle s'effondra à nouveau sur le sol dur... Les jours passèrent sans qu'elle puisse penser à autre chose... Le poème, l'ode à la tristesse écrite sur le sol...

*Un Amour détruit...
Une faille s'est ouverte...
Dans mon coeur...
A l'instant où ses pieds ont quittés terre...
Des larmes versée...
Dans le sol dur et poussiéreux...
Un corps brisé, un esprit détruit...
Un coeur Brisé...*

Ayla prononça "Brisé" dans son sommeil, elle fronça les sourcils... Elle était déjà emmenée vers d'autres royaumes et histoires...

Le soleil continuait de réchauffer doucement le couple...

Zircovald ne bougeait pas, il regardait la demoiselle endormie dans ses bras en silence. « Brise » Était-ce le vent ou le nom d’une personne qu’elle affectionnait au point de la citer dans ses songes? Le chevalier la sentait un peu perturbé et se décida dans un geste de tendresse à caresser son dos pour la rassurer. Lentement, il enleva quelques mèche sur le visage de la belle. Alya était des plus belle, ses traits fins et gracieux la rendait désirable.

Dors, créature de la nature,
Ne crains aucune torture,
Je veilles sur tes doux songes,
Afin que la tristesse ne te ronge,
Laisses ton cœur être serin,
Oublies les causes de ton chagrin,
Et lorsque enfin tu t’éveilleras
Le coure de ta vie tu reprendras.

Le jeune homme déposa un baiser sur le front de la belle endormie. Bien que le soleil commençait à rayonner, Alya demeurait dans ses rêves , les ailes recroquevillées…

Le soleil était presque à son zénith quand Ayla ouvrit les yeux... La tête contre Zircovald, elle s'était endormie, un peu gênée de cette impolitesse Ayla essaya de se rattrapper...

- Je... Je suis désolé de cette impolitesse... Zircovald... Vous ne m'en voulez pas ?

La jeune femme bafouilllait un peu, étant très troublée... Elle se rappela son rêve... *C'était il y a si longtemps... Je n'arrive pas à oublier...* Ayla espéra que le jeune homme n'était pas froissé qu'elle s'endorme sur lui... Elle étira ses ailes comme toujours après qu'elle ait dormie... Le soleil caressa les plumes blanches, les ailes mettait un peu d'ombre sur cette surface de pierre où la chaleur montait rapidement, elle laissa ses ailes ouvertes ce qui plongea le couple dans la pénombre...

Le garçon détourna son regard un eu intimidé. Les heures avaient passés en silence et seul le gazouillis des oiseaux était le chant du moment.

Vous en vouloir?…

Le paladin ne comprenait pas trop pourquoi. Si il avait voulu partir, il l’aurait fait sans remord.

Non…. C’est même assez agréable d’avoir un jeune fille telle que vous auprès de soit pour dormir… Vous êtes la première en faite…

Zircovald laissa un blanc. Il n’avait jamais couché avec quelque un auparavant. Non pas que la perspective lui déplaise mais il n’avait pas eut d’occasion. Se détendant un moment, il s’allongea sur la sol pour regarder les nuages passer et entendre la douce voix d’Ayla…

Dans la pénombre, Ayla écouta le jeune homme...
Elle ressentait la même chose qu'avec l'Ange, la même chaleur, la même douceur, le même désir, du plus profond de son corps...
La jeune femme se coucha auprès de Zircovald, le recouvrant de ses ailes blanches...
Son visage près du sien, la pénombre, ses lèvres si proches...
Ayla ferma les yeux, approcha son visage de celui de Zircovald, elle sentait son souffle chaud sur sa peau, ses lèvres devaient être si douces...
La chaleur monta en elle...

- Zircovald, je...

Elle voulait sentir ses lèvres contre les siennes, sa douceur...

Le garçon, toujours allongé les yeux fermés sentit le corps chaud et doux d’Ayla venir sur lui. L’ombre de ses ailes était rafraîchissement mais moins que de sentir son souffle près des lèvres.

Si proche et en même temps si loin, le jeune homme se demandait si il était bien digne de tant de tendresse alors qu’il vait juré de défendre sa patrie et qu’il n’avait rien put tenter lorsque cette dernière tomba.

Entrouvrant les yeux qui, mi-clos, rendait son regard doré doux et étincelant, il vit la douce demoiselle à quelque centimètres de ses lèvres. Elle prononça son nom avec un désir palpable. Zircovald l’enlaça alors et vint s’avança lentement pour frôler les lèvres satiné et humide d’Alya et bien que le premier contact fût hésitant pour le garçon, il oublia toute chose et se laissa allé au baiser.

Le touché se fit plus sûr , et le paladin goûta avec une délectation suprême les lèvres de satin qui lui était offerte.

La jeune femme gouta aux lèvres si douces du jeune homme... Elle se senit si petite entre ses bras puissants...
Elle sentit le désir monta en elle, comme une vague déferlente...
Ayla l'embrassa avec fougue... Ses bras le serrèrent, elle avait peur de le perdre...

Elle joua avec sa langue, elle caressa son palais, caressa sa langue...
Elle était si heureuse, elle se serra contre lui...

Elle se laissa totalement allée...

Zircovald vint lentement caresser la langue d’Ayla dans de subtil contact toujours très lascif éveillant un plaisir certain. Caressant le dos de la jeune fille, il remonta jusqu’à sa nuque tandis que son autre main vint caresser une aile douce et fragile.

Le garçon n’avait aucune envie de rompre ce baiser qui éveillait en lui chacun de ses sens. Le corps de la jeune femme était chaud, caressé par les rayon du soleil. Le désir montait petit à petit et Zircovald se sentait presque un autre homme dans les bras de la demoiselle.

Lui, ne c’était jamais unis à persone et bien que connaissant la chose en question, il ne savait pas si lsa relation avec Ayla irait si loin. En avait-elle le désir? L’envie intime? Le jeune homme voulais se donner mais uniquement si les sentiments éprouvé était sincère…

Ayla éprouva un tel désir, une telle envie qu'elle se cabra, elle avait envie de caresses, de baisés...
Elle enlaça ses jambes avec les siennes, elle l'embrassa langoureusement... Avec Amour... Ses sens émoustillés en demandait plus... Ses lèvres happèrent celles du jeune homme...
Elle se donna, entière, à lui...
Elle voulait aller au-delà des frontières, se noyer dans l'Amour...

Zircovald se lésait bercé par la tendre compagne. Ses gestes, son désir en disaient long . Le garçon monta ses mains jusqu’àaux épaule de la jeune fille puis, lentement, il commença à faire glisser les bretelle de la robe la long des bras de cette dernière

Il avait très envie d’elle mais il avait peur que ce ne soit qu’une passade pour elle. Si il lui donnait son cœur et son corps , ce n’était pas par jeu ou par pur instant de désir mais bien pour l’aimer à long terme.

Le jeune homme bien que néophyte en la matière décidé de laisser son instinct prendre le dessus. Ce dernier ne l’avait jamais trahi. Venant enlacer sa langue avec celle de la jeune demoiselle, il continua à faire lentement descendre la robe poux la dévoiler un peu plus chaque secondes. Puis, vint l’instant oùLe dessus du décolleté vint doucement s’accrocher à la pointe des sein de l’Ange, le cape franchit, laissa la poitrine remonter en un infime petit sursaut.

Les mains douce du garçon était sur les hanche d’Ayla dont la poitrine dévêtue laissait voir des rondeur douce et ferme à la pâleur de lait. Délicatement, Zircovald se retira du baiser pour admirer sa compagne. Certain se serait jeté sur elle pour la prendre avec fougue mais le paladin avait des attention nettement plus douce. Se dirigeant vers le sein gauche, on aurait put penser qu’il allait se repaître de la chaire velouté d’un mamelon dressé. Tel ne fut pas le cas, il vint du bous des lèvres déposer un baiser aimant sur le lieu ou se tenait le cœur de la demoiselle. Au travers de la peau de satin, il sentit le cœur emballer d’Ayla , c’était comme si les vibration cardiaque pulsait sur les lèvre du jeune homme. Il resta un moment ainsi, goûtant le grain et le parfum de la chaire de la demoiselle tout en ressentant son cœur.

Ayla laissa faire Zircovald quand il fit descendre la bretelle de sa robe, elle le laissa embrasser son sein... Brulante de Désir...
Elle enfouie son visage dans son cou, l'embrassant passionément...

Elle ouvrit la chemise du jeune homme, laissant apparaitre son torse nu... Sa peau bronzée... Elle laissa ses lèvres parcourir le corps musclé...
Elle se sentait ivre de Plaisir, elle voulait tant lui donner, elle se confiait à ses mains... Son intimité s'humidifia...

Embrassant le nombril du jeune homme, elle détacha sa ceinture... Elle remonta à son cou, l'embrassant tendrement... Elle fit doucement descendre le pantalon du jeune homme, se serra contre lui... Sa poitrine nue contre son torse...

La jeune fille parut très excitée , son corps brûlant appelait aux charmes de l’union. Ayla dévêtit le jeune homme en l’embrassant tendrement. Le Garçon fini de descendre la robe pour dévoiler l’intimité fragile et humide d’Ayla. Le désir montait dans le jeune homme mais il n’était pas pressé, il voulait savourer chaque contact avec Ayla.

Le garçon commença à caresser le corps de sa belle avec sensualité, dessinant chaque rondeurs lentement. Ses lèvres cueillirent un mamelon tendit qu’une main remontait sur la cuisse de la demoiselle. Il y était enfin, cette instant qu’il avait épié étant plus jeune devenait sien aujourd’hui.

La main poursuivit jusqu’au trésor humide. La chair rose et douce prodiguait une tendre chaleur. Le garçon commença à caresser les deux pétales de rose, laissant le nectar venir entre ses doigts. Venant du majeur toucher la petite perle, le jeune homme figea son regard d’or sauvage dans celui d’Ayla pour apprécier la profondeur du plaisir qui se lisait dans ses yeux. Puis, les doigts se dirigèrent en direction de l’orifice intime. Il caressa les bords et en profita ou venir embrasser le cou de la jeune femme.

Elle était si excitante que rien que le fait de la toucher prodiguait un plaisir certain. Zircovald voyait les ailes d’Ayla se raidir et trembler de plaisir. Il fallait être doux ne pas se précipiter. Le garçon se découvrait un nouveau talent dans les caresses charnelles, il était curieux de tout, explorant l’intimité de sa compagne avec une douce jouissance.