Rencontre fortuite…[Pv Otome]

Prit dans sa geôle Zircovald c’était fait capturé en poursuivant Isabella de Gontran, Duchesse de Falistor sous le régime du souverain Isburg 2nd. Cette paladine de la licorne noire avait servie son maître à l’extrême. Sa loyauté ne défaillait jamais et même si son seigneur était devenu pire qu’un démon, elle l’avait suivit.

Dans les montagnes, ce fût au prix de trois pièges et de géant mort-vivant que Zircovald se retrouva dans le coma et amené dans ce lieu étrange. Dévêtue de son armure et de ses armes, il fut enchainer au mur et attendait la suite. Cependant, il ne se rendait pas et réussit tout de même à extraire de la roche une des chaines qui retenait sa main gauche. La droite restait solidement attachée, le retenant en ces lieux.

C’est donc dans un cadre humide et froid que débuta la visite du château. Le jeune garçon avait cependant entendu qu’une des dames de la forteresse pourrait le recevoir dans ses grands appartements luxueux. Il est vrai que tous étaient relatifs quand la conversation est fait par deux gobelins mais bon, de toutes les façons, Zircovald se doutait bien que quelques tortures l’y attendraient. Mais pourquoi donc serait-il l’invité d’une dame ? Peut-être avait-il éveillé un intérêt de par l’aptitude qu’il avait montré au combat, mais même un expert ne peut se tirer de toutes les situations et il en était la preuve.

Le dallage de la geôle était de pierre grise et grosse, quelque bout de paille ici ét là servait de lit mais comme le chevalier était enchainé au mur, cela lui était proscrit. Tirant de nouveau sur sa chaîne qui ne se désolidarisait pas de la pierre, Zircovald entendit des petits pas arrivé. Ses poignets étaient rougit par l’irritation des chaîne à force de tirer et son corps finement musclé se couvrait de sueur sous son maillot noir.

Le preux et beau chevalier semble être en déroute...

Un murmure tiré d'une voix mielleuse...le bruit de pas s'atténuer au fur et a mesure qu'il semblé s'approcher de la cellule du captif, Otome sortit de l'ombre...juste aux cotés de l’homme, comme dans un souffle.

Et bien, j’ai peu l'habitude...pour tout dire, tout t'avouer noble soldat, de venir en ces lieux mais quelques fois comme pour cette fois ci les occasions sont alléchantes et me gorge, m’exalte d'une certaine...excitation...

Dans un mouvement la jeune succube avait fait glisser son avant bras contre la poitrine du jeune homme, caressant son torse chaud, écoutant la moindre pulsion de son coeur dans sa poitrine...avant de lentement enserrer ses doigts le long de son cou mais sans vraiment exercé de pression.

A qui le maître des lieux a t'il ouvert ses portes et celles de ses geôles...?

Otome avait prit une voix douce et calme, une voix chaude accompagné d'un souffle parcourant les moindres pores de la peau, du visage de l'homme dont elle avait approché son visage auprès de l'oreille de celui ci.

[je pensais pas du tout a ça ,chapeau <'3]

La jeune fille qui était entrée possédait une très grande beauté mêlée d’exotisme et de sensualité. Bien qu’attiré par la troublante beauté de la jeune dame, le regard pure et sauvage du garçon aux yeux d’or n’avait rien de la bête docile.

Je pensais qu’Isabella de Gontran vous l’aurai dit… Je me nomme Zircovald Crâne. Et, puisque nous en sommes aux présentations, qui me fait l’honneur de cette visite gente dame.

Le chevalier était peut-être le captif mais non le soumit. La dame sentait l’essence ténébreuse par son aura mais le garçon ne se fiait pas qu’aux origines des gens. Comme pour se joindre au jeu, le paladin pencha son visage sur le côté et souffla doucement dans le creux du cou dénudé de la dame. Il dit doucement après un moment à la regarder.

Allons gente dame, je ne voudrais pas que vous vous salissiez en portant la main sur un corps en sueur.

Zircovald s’appuya contre le mur regardant la chevelure grise de la demoiselle venu lui rendre visite.

Et bien...vous apaisez peut être et...rendre votre séjour des plus agréable qu'il soit...quoi d'autre pensez vous...?

Au souffle du jeune homme le long de sa nuque la succube ne pu s'empêcher de sourire délicieusement, laissant entrevoir ses dents quelques peu pointus, et dans un même mouvement redresser la tête comme pour y laisser la chaleur s'y noyer entièrement...

Et bien...singulier personnage...paladin Zircovald...qu'attendez vous enfermez en ces lieux....attendiez vous ma visite peut être...?

Otome recula légèrement de l'homme comme pour lui offrir que l'éphémère de sa beauté ,rentrant de moitié dans l'ombre de la pièce mais toujours a bonne distance pour lui laisser entrevoir ses formes et ses traits ,son délicieux sourire amusé dessiner a sa bouche aux reflets pourpres...Elle tendit sa main non loin de son visage et déposa une caresse a sa joue tout en la lui faisant légèrement saigner d'un vif mouvement d'un de ses ongles pointus contre sa peau ,laissant un fin sillon écarlate dessiner sur celle ci...

Dans ces yeux plein de fougue je vois un endurant joueur...pensez vous que je me trompe seigneur...crâne...?

Elle se rapprocha a nouveau de lui d'un pas engagé, se collant presque a lui, avant de laisser glisser sa fine langue sucrée le long de la joue blessée, récoltant le sang qui avait commencer a y couler...tout en fermant les yeux a nouveau elle déposa un baiser a la naissance de sa nuque avant a son tour d'y laisser glisser a nouveau son souffle de braise, y laissant sa présence passé, sa chaleur...

Zircovald n’appréciait guère d’être enchainer et lorsqu’elle s’approcha pour le faire saigner, le chevalier balança son bras droit avec la chaîne qui vint s’enrouler autour du cou de la demoiselle.. Il récupéra l’autre extrémité mais ne serra pas trop fort.

Je peux aussi être très attachant.

Soupirant un moment et bien qu’appréciant la physionomie de la Dame il la relâcha. Puis, se détourna d’elle.

Je n’ai pas de temps à perdre avec vos jeux. Vous agissez en petite fille ayant trouvé un jouet et je pensais au moins avoir affaire à une dame. Ce château manque cruellement de courtoisie jeune demoiselle. J’ose espérer au moins que votre cœur est plus magnanime.

Le garçon soupira, si elle pensait qu’il allait être son esclave elle se trompait lourdement. Regardant la lune au travers du petit hublot de la cellule, il se mit à contempler les étoiles.

Otome ne pensait pas a tel réaction, souffrance souffrance souffrance ça vie n'était nourrit que ça sans compter de désirs, mais l'homme délaissa son idée de lui faire du mal, sa position de pouvoir avec une tel désinvolture, comme par...ennui...

Petite fille...

Quelques mots a elle même ,l'ego de la jeune succube était toucher...c'étais trop facile de laisser cet impertinent s'en tirer comme ça...comment ce venger quand cette habitude est perdue depuis des centaines d'année comme si elle n'avait jamais existée auparavant ,comment faire quand ont n'avait l'habitude que de faire souffrir sans rien en retour ,aucunes représailles...ces pensées troublèrent Otome qui tourna son regard vers l'homme avant de le rabattre sèchement vers la fenêtre a son tour.

Dans cette situation...pourquoi jouez-vous...c'est si désespérant mais vous...vous la supportée sans ménagement...sans pouvoir être troubler...alors que vous êtes qu'humain...

Elle posa une main contre la pierre froide de la cellule...crispa ses doigts, et détourna a nouveau son regard vers le prisonnier, la surprise et une incompréhension innée se lisait dans les yeux de la jeune femme...tel une enfant qui ne comprenait pas la justice d'avoir été punit...meurtrie et humilier au font d'elle.

Vous ne semblez pas comprendre. Bien que vous soyez parée des plus beaux atouts qu’une jeune femme peut rêver d’avoir, il n’y a pas que le désir physique. Le cœur et les sentiments sont beaucoup plus forts que les tentations, furent elles aussi divines que votre personne. Je ne suis peut-être qu’un humain mais je ne me contente pas d’être superficiel.

Zircovald delaissa sa compagne la lune et regarda Otome de façon très neutre. La jeune fille paraissait perdue entre son idée de ce qu’elle était, un démon, et le fait qu’il puisse exister autre chose que la mort, la vengeance, les plaisir sexuel.

Je ne suis pas dupe sur ma situation, je suis enchainé à un mur et vous non. Cependant, je ne m’en plaidrai pas. A quoi cela servirait-il ? Je n’ai pas plus l’intention de vous utiliser ni vous faire du mal, je n’y aurai ni intérêt ni raison valable.

Zircovald réflechit. Peut-être deverait-il faire comme les renards et se ronger la patte pour sortir. Cette idée ne l’enchentait pas et il était assez intrigué par la demoiselle.

Gente Dame, vous n’avez donc jamais rêvé en regardant les étoiles ? Un rêve peut valoir plus chère que beaucoup de chose vous savez ?

Le garçon commença à prendre la deuxieme chaîne et avec un maillon, essaya de faire levier sur le poin d’encrage de la chaîne qui le retenait.

Vous dites ça, comme si vous me connaissez par coeur, comme si...vous pensez me connaître dans ma totalité...mais il n'en est rien...

Elle détourna son regard vers la porte de la cellule, elle voulue déglutir mais l'homme si il la voyait faire, penserait sans dans a un état de faiblesse, voir de peur...l'intelligence et la vivacité d'esprit dont faisait part l'homme était perturbante mais il ne fallait pas qu'elle paraisse démunie de tout contrôle dans une telle situation...

Vous ne savez...même pas qui je suis, se que je suis...se dont ce que je suis capable...vous avez même en tête l'idée que j'ai un coeur...que je peut me montrée émotive...comme...ce que vous êtes...

Otome avait posait avec une certaine nervosité sa main sur son fouet, faisant naviguer inconsciemment ses doigts entre les noeuds de la lanières, comme ferait une jeune femme avec les boucles de ses cheveux...une femme perdue dans les méandres de son esprit...

Je...pourrais vous tuez...de sang froid...arrachez vos viscères et jouer de leurs tiédeurs...mais je ne peut pas...j'ai l'impression d'avoir perdue mes habitudes, mes manières, a cause du temps....le temps que j'ai perdu a ne plus profités de mes atouts...a devenir...comme une espèce d’humain, naturel et banal...

Un soupire, un tremblement des paupières...il ne fallait pas qu'un simple humain la voie perdre ses moyen...il était déjà assez dur et inconcevable pour elle d'avoir délivrer ce flot de paroles insensées d'après elle, il ne fallait pas en plus de ça se montrer faible d’esprit, et capable d'avoir des sentiments et des larmes capables de coulés...

Je n'aurais pas du venir, pas du rencontrer d’homme, pas dans cette situation...non pas celle ci...

Elle se rapprocha de la porte de la cellule et posa une main qu'elle fit inexorablement glisser le long du métal froid d'un des barreaux, elle avait envie de sortir mais sa conscience ce refusée de la laisser agir, pensant qu'il serait lâche et purement humain d'agir ainsi...elle resta donc là, prisonnière d'une torpeur, une torpeur de larmes de sang et le visage tremblant....

Vous avez raison, je ne vous connais pas mais vous ne me connaissez pas non plus. Même les démons on un cœur, des bras, des jambes… Nous ne sommes pas si différents.

Oui vous pourriez me tuer et tout le bla bla bla de l’éviscération et ? Vous aboutissez à quoi au final ? Pas grand-chose j’en ai bien peur. Il n’y a que les petits démons qui font cela, les autres ont des plans beaucoup plus élaboré et ne joue pas les primaires.

Vous dites que vous avez perdu du temps en jouant les humains, ca me fait bien rire. Parce que franchement, jouer à qui éviscérera le mieux, si ce n’est pas perdre son temps, je ne sais pas ce que c’est. Souhaitez-vous vraiment revenir à ses banalités ?

Vous regrettez d’être venu ? Pourquoi ? Parce que je dis des vérités qui vous gène et que vous avez peur de vous-même. Tout le monde évolue alors pourquoi pas vous.

Zircovald tira une dernière fois de toutes ses forces et la chaine céda enfin. Le sang coula de sa main droite à force de tirer encore et toujours. Une fois ceci fait, le jeune homme s’approcha de la jeune fille.

Le gout du sang vous manque t’il à se point ? Je ne suis pas votre ennemi contrairement à ce que vous pouvez croire. Et si pour une fois vous changiez et aidiez les autres ? Je sais que chez les démons aucune confiance n’existe c’est peut-être une chose que vous découvrirez.

Le garçon prit les mains de la jeune fille et la regarda dans les yeux.

Ne soyez pas si troublé de mon comportement, même si vous êtes née différente vous êtes une dame n’est ce pas ?

Donnant un baise main courtois, il jeta un œil par les barreaux pour voir ou en était la surveillance.

"Tue le...tue le...l'occasion est si belle...tue comme tu as appris de tes parents...comme nous le faisons toujours..."

Au fil des paroles que lui adressait l'homme le subconscient d'Otome tentée de la faire aller dans son chemin, le chemin qu'elle avait toujours pris auparavant...mais elle voulait apprendre des paroles de l’homme, apprendre et comprendre les raisons qu'il l'avait fait ainsi se refusée a elle même et a agir a contre-nature...

Je me perds...moi même...

Les ordres que lui donner son subconscient, ces bourdonnement obscure semblait vouloir lui attisés les sens, lui écorcher l'âme pour la remettre dans le droit chemin avait complètement abasourdis la jeune démone, laissant l'homme se libérés de ses fers et s'approcher d'elle sans qu'elle ne le remarque...jusqu'au moment ou une douce moiteur se fit sentir le long de ses mains : l'inconnu les lui avait pris dans les siennes.

Le...château est souvent désert de fortes surveillances...en ces temps...les gardes...ne sont plus se qu'ils étaient auparavant...

Au fur et a mesure qu'elle parler ,d'une voix faible et aux consonances blessées ,les nerfs de la jeune femme commencèrent lentement a être a vif ,l'odeur du sang et le bouillonnement du sang ,de la vie de l'homme face a elle ne l'aider en rien...Tout comme les légères larmes pourprées qui perler le long de ses yeux et qui embrumé sa vue de leurs ombres rougeâtres...Elle baissa la tête et ne pu s'empêcher de lâcher un sourd sanglot a l'instant ou l'homme lui offrit un baise main ,elle se sentait si impuissante et sale malgré la douceur du geste...

Je me sent...moi même emprisonnée en ce moment...je vais vous faire sortir...j'en peut plus de rester ainsi...je me sent étouffée...

Elle glissa ses mains hors de celles du paladin et se retourna avant d'ouvrir la porte grâce à un mouvement de la main face au verrou, puis elle se retourna de nouveau vers celui ci en déglutissant, comme si elle venait d'avaler le plus amer des vins, l’amertume de son semblant de coeur...

Zircovald regarda la demoiselle pleurer. Elle semblait si troublée que le garçon voulait la rassurer. Il prit le visage de la jeune fille dans ses mains et essuya ses larmes de sang. La succube devenait de plus en plus intéressante, elle était moins stupide que ses consœurs dont le crédo était sexe et violence et qui n’avait ni cul, ni tête.

N’ayez pas peur vous m’avez aidez et je veux faire de même. Vous connaissez un endroit ou nous pourrions être tranquille et récupérer mes affaires par même occasion ?

Le chevalier caressa les joues de la demoiselle et lui sourit.

Allons, plus de larme gente dame.

Passant par l’encadrure de la porte, le garçon lui tendit la main pour qu’elle le rejoigne. On aurait dit un couple qui s’éclipsait discrètement sans éveiller leurs parents. Il y avait un grand couloire mais Zircovald ne savait pas où aller. Passant une main dans ses longs cheveux bruns il réfléchit. Ses deux yeux d’or, pareil aux grand félins regardaient de droite et de gauche.

Je crois que je vais vous suivre… Dites, vous ne m’avez toujours pas dit votre nom. Vous avez peur de me le dire ?

A la lueur des torches murales, Otome semblait plus belle encore. Ses traits fin et délicats, son regard un peu perdu la rendait fragile et douce. Une pointe d’érotisme se dégageait de sa tenue et la rendait désirable sans pour autant dévoiler tout ses charmes.
Zircovald était semblable à lui-même, un chevalier sombre au regard étrange…

Je me nomme Otome...Otome Ryuuketsu...peu de personnes connaisses mon prènom en fait...

Un frisson parcouru l'échine de la jeune succube quand l'homme lui effleura la joue de sa main ,un geste si simple ,si humain ,mais qui troublait encore plus les sens et l'instinct de celle ci ,la rendant encore plus d'apparence ,mais aussi de coeur...

Je pleure mais je n'en soufre pas...c'est que...je ne me comprend même plus...

Elle souffla longuement, expirant un dernier sanglot qui fuit frémir les moindres pores de sa peau comme si elle venait de perdre une partie d'elle même, une vieille habitude...Elle regarda un moment le jeune homme dans les yeux sans vraiment y faire grandement attention puis détourna la tête presque aussitôt comme par crainte, avant de s'avancer a pas lent dans le couloir en direction de la salle des gardes.

C'est par ici...les gardes ont était inviter ,la majeur partie a une sois disant fête en ville...comme souvent...il y aura donc peu de personnes encore présente pour surveiller les lieux ce soir...

De temps à autre la jeune femme tournée la tête de moitié pour apercevoir la présence du paladin, vérifier si il la suivait toujours...mais elle n'osa pas tourna entièrement le regard vers celui ci et se contenta de se fier à son ombre mouvante aux grés des torches murales.

Vos effets personnels doivent être ici...ça sent le sent gorgé de vinasse...il y a sans aucuns doutes un garde en train de cuvés ici...je vous attend dehors...ne vous inquiétez pas...

Elle s'était arrêtée devant une porte de bois massif de couleur sombre et de mauvaise facture, puis elle alla au cotés de la porte et se fit glisser dos contre le mur, laissant ses mains entourés ses genoux, le regard perdu sur la surface noir du mur d'en face, les lèvres légèrement frémissante d'un froideur qu'elle n'avait jamais connue...

Merci Dame Ryuuketsu.

Dit le jeune homme en venant près de la porte. Il l’avait suivit docilement sans bruit mais là, c’était à lui d’agir. Posant son oreille contre la porte, il entendit un garde ronfler comme un sonneur. Il fallait faire vite car le bruit de la porte risquait de le réveiller. Prenant une inspiration lente, le Zircovald poussa la porte d’un petit coup sec sans quelle ne claque. L’orc assis les yeux mi-clos aperçût la silhouette mais le temps qu’il en prenne pleine conscience pour beugler comme un sourd, il était trop tard. Le chevalier était arrivé droit sur lui et donna un grand coup de poing dans la gorge du garde, enfonçant sa pomme d’adam. Entre le coup et l’arrêt brusque de la respiration, l’orc tomba au sol inconscient.

0 pas de loup le garçon regarda autour de lui et aperçût le râtelier d’arme. Ses effet s’y trouvaient bel et bien. Ils n’avaient pas eut le temps de les entreposer dans une remise, voulant sans doute inspecter les habits du paladin. Zircovald s’habilla rapidement, revêtant son armure noire au ronce dessinée et sa cape de fourrure. Attachant dans un dernier temps la ceinture où se trouvait son arme, il ressortit de la salle pour retrouver Otome.

La demoiselle paraissait vraiment perdue et Zircovald était un peu gêné pour elle. Il posa sa cape de fourrure sur les fragiles épaules de la demoiselle et l’aida à se relever.

Venez gente dame. Il faut encore que vous me montriez un endroit ou nous serons tranquilles. J’aimerai vous aider à y voir plus claire en vous. Ce sera ma façon de vous dire merci.

Otome resta sourde a l'action qui se passa juste a cotés, dans la pièce ou était l’orc, elle releva son regard vers le visage du jeune homme, un regard fuyant mais qui s'efforcer a lui donner bonne conscience...Puis elle se redressa aidée de Crâne, lui lâcha un vague sourire symbolisant qu'il n'avait pas a la remercier, puis elle se dirigea vers la sortie qui menait aux jardins du château, l’homme toujours sur ses talons, comme son ombre....

Je ne sais pas...se qu'il faut pour m'aider...vous devriez rentrer chez vous...et m'oublier...vous risquez sincèrement de perdre votre temps...Crâne...

Elle lui dit ces quelques mots d'un ton plus calme, donnant une impression de reconnaissance, comme si elle souhaiter vraiment ne pas faire perdre de temps a l'étranger...Mais au font d'elle le seul but qu'elle avait désormais en tête d'avoir et de se comprendre, même si elle sentait que le paladin avait déjà découverts facette de sa personnalité qu'elle même ne connaissait même pas...

Nous y voilà...la grille menant au jardin est ouverte...bonne chance...et...désolée...

Elle s'était arrêter au détour d'un couloir ,la lumière du clair de lune filtrée les barreaux de la grille bien nommée ,éclairant dans une pâleur froide le visage du jeune homme ,lui donnant un air étrange et presque énigmatique...Celui de la jeune succube par contre ,semblait froid en plus de ses traits qu'elle avait de tendue et de fatigués ,une douce pâleur ,comme celle lisible sur le visage d'une poupée...Elle joignis ses mains entre elle ,et se les massas nerveusement en restant au cotés de la porte ,attendant que l'homme se décide a la quitté ,les yeux ,le regard posé sur la noirceur du couloir...

Zircovald posa son index sur les lèvres de la demoiselle.

Vous croyez vraiment que je vais vous laissez seule ici ? Vous ne me connaissez pas. Venez avec moi demoiselle Otome. Je ne veux plus entendre de lamantation ni de vous laissez seule.

Le chevalier lui sourit avec tendresse Il posa san main sur le front de la jeune femme, le regard légerement en l’air et reprit.

Vous êtes un peu fatiguée. Vous voulez vous reposer dans le jardin avec moi ?Promis, je sais me tenir.

Le paladin avait prit le ton de la plaisanteri. Puis se décidant à redeneir plus serieux, il fixa Otome dans les yeux sans en dire plus comme si il sondait son âme en profondeur et éfleurait sa peau juste d’une simple regard. Il lui prit la main et l’emmena dans le jardin et chercha un endroit discret pour ne pas se faire prendre par les gardes. Trouvant un petite plac au milieu d’un taillie d’arbuste il s’assit, entrainant la dame. Il resta silencieux comme pour l’écouter.

Doucement, il remit la cape sur Otome et la ferma pour qu’elle ne prenne pas froid. Le temps paraissait sucpendu et si la jeune fille voulait parler, c’était bien le moment. L’endroit était désert, rien ne bougeait autoure d’eux, le jardin était étrange voir inquiétant mais peu importait.

Otome se laissa guider par le jeune homme sans dire mots du chemin ,puis une fois arrivé face dans l'endroit que le paladin avait choisis ,Otome glissa son regard dans le sien avant de briser le silence quelques instants après d'une voix calme mais faible mêlée d'une pointe de tristesse...

Je n'ai pas rencontré d'homme depuis de nombreux jours ,voir des mois ,je ne sais plus vraiment...j'ai perdu l'habitude de m'habitué a leurs présence et a les laisser entrée dans mes tentations pour ensuite les faire succombés...les faire mourir...ce sont les femmes qui m'ont troublées en premier lieux ,je ne me voyais pas capable de me jouer d'eux et de les faire souffrir ,elle ne faisait pas comme moi avec les hommes ,elle ne mimer pas la douceur ,elles était elles même ,naturellement douce...revoir des hommes me rebutés après cela ,j'avais peur qu'un moment comme notre rencontre arrive ,un moment ou je perdrais toutes notions de biens et de mal ,ou je ne saurais quoi faire et ou je perdrais tout mes moyens et mes habitudes d'entant....

Elle déglutie lentement avant de baisser a nouveau le regard en direction du sol ,ses pommettes lui brûler affreusement ,elle se sentait si honteuse ,si sale d'être désormais si différente de ce qu'elle était...Mais la faiblesse qui parcourait désormais tout ses sens lui empêcher d'agir a l'encontre des demandes ,mêmes des plus simple et des plus gentilles qu'il soit ,que lui faisait le paladin...elle se sentait piéger ,piéger dans une cellule de franchise...et Crâne était son geôlier...et la vérité la clé…

Zircovald l’écouta et fit un léger signe négatif de la tête.

Vous avez encore beaucoup à apprendre. Toutes les femmes ne sont pas douces et beaucoup savent tricher. Un homme lorsqu’il fait l’amour et va jusqu’au bout ne peut simuler son plaisir alors qu’une femme oui. Un homme peut être aussi doux qu’une femme et une femme aussi dure qu’un homme. Ce n’est pas le sexe qui compte dans ce cas mais l’être en lui-même, son caractère etc.

Otome était trop assise sur ses préjugés et les hommes la dégoutaient. Le chevalier se demandait s’il ne la dégoutait pas un peu. Le jeune homme regarda Otome qui était complètement perdue. Il se décida donc à la faire réagir et la prise dans ses bras avant de se laissé tomber en arrière. Elle était sur lui donc, la tête contre son torse où elle pouvait entendre les battements du cœur du paladin.
Fermant les yeux un court instant le jeune homme demanda.

Je vous dégoute aussi en temps qu’homme dame Ryuuketsu.

Non...vous ne me dégoûtez pas...moi même oui c'est le cas...vous me troublez rien de plus...cette rencontre m'as troublée mais c'est de ma faute...je n'aurais pas du venir a votre rencontre...

Otome c'était laisser aller quand le jeune homme l'entraîna contre lui... sa joue posée contre la poitrine de celui ci la fit frémir un court instant ,elle avait perdue depuis si longtemps cette habitude ,cette chaleur masculine qu'elle en avait oublier la sensation que celle ci procurer...Elle laissa échapper un long soupire parcouru d'un bref sanglot ,puis elle releva vers le visage de Crâne un regard aux reflets d'inquiétude ,comme si elle implorait l'homme de lui offrir le pardon ,comme aurait fait une enfant qui aurait entrepris de faire quelque chose avec la crainte d'avoir tout gâcher...

Pardonnez moi...s'il vous plait Crâne...je vous ai ternie de mes paroles sans pensée a ce que vous pouvez ressentir...je n'ai été qu'une idiote qui a depuis le début tout fait de travers...je vous en prie offrez moi le pardon...je vous offrirez tout ce qui est en mon pouvoir pour cela si il le faut...

Elle remonta une main tremblante et la déposa en crispant ses doigts sur la tenue du paladin d'un geste implorant, un geste inférieur, un geste soumis comme son regard encrer dans celui de l'homme...

Je ne ne vous demandes que celà...je vous en prie Crâne...

Vous n’avez rien fait qui demande mon pardon.

Le jeune homme posa sa main sur celle de la demoiselle doucement. C’était étranfe d’être avec elle. Elle était si douce et en même temps si fragil. Son bouleversement faisait naître en elle des sentiment et un cœur quelle ne se connaissait pas.

Je ne veux pas profiter de vous ou de votre détresse… Je ne veux rien que vous ne désireriez.

Le garçon parlais doucement en la regardant avec tendresse. Les yeux de la belle étaient désorientés, presque triste. Le chevalier la blotit doucement comme si elle était sa compagne. Même si elle était soumise, le chevalier voulait qu’elle soit elle-même et heureuse. Il ne profitrai pas de son pouvoir sur une dame en détresse fut elle aussi belle.

Vous êtes tres belle Otome et le fait que vous révéliez votre conscience vous rend encore plus belle. Ne soyez pas dégouté de vous.

[color=blue]Il faut que je redevienne…normale…je ne peut que le redevenir en votre présence qu’en étant a vois cotés…ne me quittez pas s’il vous plait…je n’ai pas encore envie de laisser mes sentiments et mes envies se confondre et redevenir chaos…

Otome referma sa main sur celle du jeune homme, posant la seconde par-dessus elle se rehaussant un peu plus et fit déposer d’elle-même la main du paladin sur sa joue et de prendre sa seconde comme l’étais la première auparavant, la serrant doucement entre ses propres mains…les compliments que lui avait fait Crâne ne semblait pas avoir atteint son égaux, trop perturbé par ses sentiments…

Ne m’abandonnez pas a mes tourments…je n’oserais plus pensée comme avant après ça…restez auprès de moi Crâne…

[color:9d5d=blue:9d5d]La succube amena la main du jeune paladin a son visage et entrepris de la parcourir de baiser, baiser humides du aux larmes qui avait coulées jusqu'à ses fine lèvres frémissante d’angoisse…

Chhhhhhhhht…. Je n’ai nullement l’intention de vous abandonner Otome.

S’approchant doucement de son visage, le garçon déposa un baiser sur la joue de cette dernière très lentement. Ses lèvres se firent douce et tendre sur le peau bronzés qui avait un léger gout de sel sous les larmes. De l’autre côté, la main se faisait voluptueuse, caressant l’autre joue et la réchauffant d’un réconfort troublant.

Ne soyez plus triste demoiselle Otome.

Glissant sa main dans celle de la jeune femme, il enlaça ses doigts avec les siens tandit que l’autre main caressait les cheveux de la belle derrière son crâne etblotit le visage féminin dans le cou du jeune homme pour qu’elle s’y loge comme un refuge…

Merci...Crâne...merci pour tout se que vous faites pour moi...

Au baiser du jeune Paladin l'épiderme d'Otome frémis un court instant ,éveillant de plus belle ses sens qu'elle avait de perdu dans les sanglots...Et dés que la jeune femme ai eu la visage encré contre le coup du jeune homme elle lui offrit a son tour une caresse du bout de ses lèvres contre sa nuque ,humant le parfum que dégagé Crâne ,un parfum de sollicitude et de gentillesse...Elle n'avait en rien envie de s'y éloigner ,une telle présence était pour elle une délivrance troublante...

Votre présence m'apaise...je ne pensais pas ça possible il y a quelques instant...mais vous avez su faire, su me guider hors de mes tourments...

Puis se fut le tour des caresses contre l'arrière de la nuque de la jeune femme qui semblées attiser une fois de plus ses sens et son bien-être...Elle poussa un léger soupire d'aise avant d'un peu plus enfuir son visage entre l'épaule et le cou du jeune homme, réchauffant sa peau de ses joues de feu...

Le jeune homme se sentait bien avec elle. Même si le devoir d’un paladin est de combattre les démons, le chevalier n’en avait aucune envie. Passant un bras lentement autour de la taille de la belle au regard tendre, il se dégagea de son visage pour l’avoir en face de lui. La main droite vint doucement prendre le menton fin et rond de la succube. Plongeant son regard d’or dans celui d’Otome, il la fixa puis tout en fermant les yeux, il approcha son visage près du sien et déposa ses lèvres sur celle à la fois charune et velouté de la jeune fille.

Le contact était chaud, doux, légèrement humide et Zircovald goutait ce petit baiser avec délectation. Comme un appel du cœur, il entrouvrit les deux pétales de rose des la demoiselle avec sa langue pour lentement pénétrer les lieux. La petite pointe de la peau de la langue appela celle de la succube, faisant naître un frison sur la peau d’Otome. Zircovald ne faisait que la frôler et vint caresser le palais puis, la langue fine et tendre. La jeune fille semblait pétrifiée par le plaisir. Celle langue douce et masculine avait pénétré sa bouche et l’explorait avec la délicatesse du miel dégoulinant dans la gorge. Le chevalier souleva la langue d’Otome de la sienne et caressa le dessous, là ou la peau est plus tendre. Les lèvres se pressèrent un peu plus fort l’une contre l’autre et langoureusement Zircovald dégusta la salive fine et sensuelle de la démone.

Le chevalier serra un peu plus la main aux doigts entrelacé de la jeune fille par petite impulsion comme pour lui dire, « je suis prés de toi ».

Otome fut surprise mais en même temps heureuse de l'initiative de Crâne...Sa langue ne cherchée en aucuns cas a aller a l'encontre de la sienne, docilement elle la souleva quand celui ci vas a chercher a lui caresser le dessous de la sienne, et tout aussi docilement elle le laissa presser un peu plus ses lèvres aux siennes tout en mêlant sa salive, son nectar, au sien...

"Pourquoi ne suis-je pas étonnée de tout ça...pourquoi je me laisse aussi bien aller qu'à l'encontre d'une femme..."

La jeune succube répondu a l'appel de la main chaude du Paladin en pressa a son tour celle ci dans la sienne ,comme si elle cherchée a se fondre dans celle ci ,comme si elle souhaiter lui dire « ne me perd pas » ...

Otome vint ensuite déposée sa seconde main contre la joue du paladin ,celle fut parcourue d'un tremblement a se contacte comme si elle n'avait pas l'habitude de le faire ,comme si elle venait de toucher a quelque chose de fragile ou de bouillant...puis elle effleura celle ci du bout de ses doigts comme si elle découvrait pour la première fois le contacte humain ,la faisant glisser des pommettes du jeune homme jusqu'aux abords de son front ,tel une feuille effleurant la chair d'un être après être tomber d'un arbre avant de venir se mourir contre la terre...

Zircovald interrompit la jeune dame d’un autre baiser plus fougueux et doux. L’entremêlement de leurs langues devenaient une danse sensuelle et bien que le garçon n’avait guère l’habitude d’embrasser, la peau et le gout d’Otome le rendait plus charnel. Les mains se faisaient plus voluptueuses et lentement, un doigt vint courir le long de la colonne vertébrale d’Otome parcouru de baiser au gout sucré.

Soudain, le garçon se ravisa. Otome sentit que le cœur du jeune homme palpitait étrangement et que sa peau commençait à suer. Une perle de sueur descendit de la tempe jusqu’au menton du garçon qui parût s’essoufflé et haletait comme si il avait courut très longtemps. Prit dans un spasme, le paladin se jeta la tête contre le sol, tout son corps tremblait.

Otome… Il me faut… Une racine de Korizanadil…

Le corps du garçon le brulait et il se dévêtit aussi vite que possible de son armure qui semblait le torturer. Son corps commençait à se troubler, une aura vaporeuse et opaque enveloppa son corps petit à petit pour le faire disparaître. Au bout de quelques instants, la vapeur se disloqua pour découvrir une jeune fille au corps de rêve allongée et trempée de sueur. Elle était évanouie et haletait comme prit de fièvre.

» Otome Ryuuketsu
» la reflexion et méditation. [Pv avec Otome.]