Fausse espérance. .. [PV avec Anariel]

Myou n'en crue pas ses yeux quand son maître lui avait proposer de sortir de sa bulle pour pouvoir nager un peu dans de l’eau, celle d'un point d'eau peut être pas très vaste, mais qui était tout de même plus grand que celui qui lui faisait office de cage en temps normal...

C'étais une sorte de plan d'eau née d'une source non loin de là ,la terre a ses alentours était très meubles ,voir boueuse...une terre pouvant étrangement rappeler celle des marécage mais la petite fille n'y prêta guère attention...

Après que cette pseudo délivrance lui fut offerte elle resta un temps a nager dans l’eau, a regarder les quelques rares poissons qui peuplait l’endroit, a tenter de leurs parler...a tenter de s'en faire des amis mais en vin...ils n'avaient sûrement pas envie de se lier d'amitié avec une "créature" d'eaux douces qui n'était pas libre contrairement a eux...

Quelle humiliation ,quelle désagréable impression d'être entièrement coupée du monde ,d'avoir été arrachée au monde pour une captivité non souhaiter...la petite sirène se mit a accélérai vivement sous l'eau en direction d'un endroit ou nul poisson ne pourra venir la narguer avec sa liberté ,un endroit sombre...tranquille...des larmes invisibles commencés a couler au grés de furieux coup de queue...une partie de sa tunique fut déchirée après avoir heurtée un embranchement de monceaux de bois mort...sa peau commencer a se couvrir d'une fine couche de glaise...et sa respiration ,alors qu'elle pensée que c'étais du a l'effort se fit de plus en plus difficile...c'étais la terre omniprésente dans l'eau qui commencer a obstruer sa gorge...l'asphyxiant petit par petit...le reste de sa tunique finis par la délaisser loin derrière elle...

"Qu’est...ce...j'ai...si...mal..."

Myou commencée a comprendre son erreur quand elle finis par ouvrir les yeux et a voir le trouble de l'eau...elle tenta vivement de remontée a la surface, mais a mi chemin elle perdit connaissance et remonta silencieusement tel un poisson mort, a la surface…la poitrine a l'air libre et le corps meurtri et sale...sa tête ballotant encore sous l'eau...tel une marionnette désarticuler...son corps entreprenait une danse macabre aux grés des mouvements qu'entamée le marécage...

"Stupide...petite...fille...je..."

Ses yeux finirent par se refermées, et son corps blesser s'enfoncer inexorablement dans la bourbe de l'endroit...

Les marais. Pourriture continuelle à perte de vue, odeurs fétides et pestillencielles, animaux fourbes et vicieux, lac boueux et baveux. Une belle ballade en perspective. Mais il fallait bien prendre un peu l'air entre deux entrainements, et le marais était un lieu très peu fréquenté, parfait pour ne pas être dérangé.

La flore était dense et abondante, des arbres peuplant le sol avec un pas d'intervalles entre chacun. Des branches humides de sols pleureurs tombés à la renverse sur le petit chemin qui s'enfonçait dans la noirceur du marécage. Il faisait chaud, et humide, procurant au corps une sensation de lourdeur de l'air très désagréable. De petits animaux passaient de troncs en troncs, ésperant ne pas être remarqués par l'étrangère humaine qui s'aventurait dans leurs terres. Et si ils n'étaient aussi petits, sûr qu'ils l'aurraient attaqué férocement.

Les cinq sens en alerte, Anariel écoutait le chant de petits oiseaux, ou le bruit du vent s'infiltrant entre les arbres centenaires. Un havre de paix trompeur, car cet endroit avait du prendre beaucoup de vie. Et il sévissait encore.

Une petite voix s'infiltra dans le "bois", murmure netre les arbres porté par le souffle chaud du vent. Une femme, une jeune fille, semblait étouffé non loin de là. Anariel pensa au début que ce n'était que son inconscient qui lui jouait des tours, mais un murmure se repeta, et la même voix le prononçait. "Stupide...petite...fille...je...". Cela ressemblait à ça.

La guerrière s'élança alors entre les arbres, tirant son épée pour trancher quelques touffes de feuilles génantes. Elle arriva finalement devant une petite étendue d'eau à la couleur brune peu rassurante. Près du bord se trouvaient des doigts, à la surface, tendu vers le ciel. Ils s'enfoncèrent dans l'eau pateuse, et furent remplacés par des bulles d'air remontant à la surface.

Comprenant que la jeune fille se noyait, Anariel défit ses habits en un temps record. Prête - et nue - elle plonga dans le lac et rattrapa la main douce et blanche de la petite demoiselle. Elle la tira de toute ses forces, tout en remontant à la surface. Près du bord, là ou elle avait pied, elle porta la jeune femme et la posa sur l'herbe verte du marais. Sans sortir de l'eau, Anariel compressa la cage thoracique de la fille, tentant de faire sortir l'eau qui l'empéchait de respirer...

[Ce que j'avais mis entre tremas était des pensées ,enfin ce n'est pas grave ,j'aurais du te prevenir ^^.]

Douleur douleur douleur…un mal laissant place a un autre…l’humiliation entre corps et âme…

Une brûlure tel qui l’empêcher presque de respirer, la faisant suffoquer, comme si l’air ambiant c’étais soudainement enflammer…avec la désagréable et horrible impression d’avoir du sable humide au plus profond de sa gorge, qui s’enfonce, s’enfonce…jusqu'à ses poumons…

Si...mal…je…peux…plus…

C’étais insupportable pour la jeune sirène…son torse était prit de faible convulsion, de spasmes, comme si elle tentait de se libérer de cette entrave de souffrance, cette entrave qui la faisait tousser d’autant plus quand l’inconnue tentée de lui dégager la gorge de se qui l’obstruée…une toux sèche est incessante, qui lui faisait éructé sans arrêt une eau impure mêlée a du sang, son propre sang provenant de sa gorge meurtrie….

J’ai…froid…tel…tellement...froid…

Les larmes reprirent vite le dessus…des larmes mêlée elle aussi a son sang qui s’égoutter du commissure de ses paupières…creusant de fins sillon rougeâtre dans la crasse et l’immondice qui recouvrait désormais sa peau…des yeux qu’elle se refusait d’ouvrir par crainte et par lâcheté…lâcheté de l’humiliation de regarder en face son sauveur, le regarder perdre son temps dans l'insignifiance…et la crainte de souffrir encore plus qu’elle ne soufrait tellement la saleté avait pu obstruée les moindres cavités de son corps ,recouverte la moindre parcelle de son corps qui était aussi tremblant que fiévreux désormais…une fièvre qui engourdissait ses membres ,la paralysant de froid et de douleur petit par petit…

Mérite…plus…rien…

C’est se qu’elle pensée, méritée plus rien, ont lui avait offert une once de liberté et voilà se qu’elle en faisant avec son incompétence…peut être aura-elle souffert aussi si elle aurait décliner la faveur que lui avait son tyrannique de maître…mais au moins…aurait elle pu plus être confrontée a autant de souffrance qu’elle endurée désormais… ?Elle ne le pensée pas….d’ailleurs elle ne pensée plus qu’as une chose, se laisser aller, et s’en aller sous la douleur pour ne plus avoir a souffrir, pour ne plus a avoir a endurer…

[Désolée pour le retard ,j'ai du recommencer a taper 2 fois le texte a cause de mon pc qui c'est mis soudainement a couper ._. Normallement il aurait du être mieux car je ne me souvenais de pas tout se que j'avais taper les premières fois ,désolée.]

Un corps pur. Un corps pur ainsi souillé par le sang et la bille qui remontait par sa gorge. Que faire ? Comment sauver la petite ? Anariel n'avait jamais était doué pour la médecine, et n'avait jamais était confronté à une telle situation.

La seule chose à faire était de garder son calme, et d'arreter de lui masser la cage thoracique. Ce rémède faisait pire que mieux, et c'était surement cela qui avait fais ressortir le sang de sa bouche. Quel était le problème ? Analyser la situation, voila ce qu'il fallait faire. L'eau. L'eau était sale, boueuse et stagnait dans le lac depuis longtemps. Voila, de l'eau stagnante ! C'est de là que venais le problème. L'eau devait l'empecher de respirer, l'irriter, la bruler.

Quoi d'autre ? Du sable dans le sang. Le sable ! C'était lui qui, mélangé à cette eau pourrie et croupissante qui devait éteindre l'étincelle de sa vie. Il faudrait soit faire sortir cela, chose apparement impossible, ou décrasser sa gorge. Comment décrasser ? Du vin, de l'alcool, de l'eau pure ? De l'eau pure, oui. La gourde, à coté des vétements.

Anariel, jusque là encore dans l'eau, se redressa et mit pied sur la berge. Elle courut jusqu'a ses habits, et les ramena tous à coté de la fille. Elle mit sa petite fourrure sur cette dernière pour la rechauffer un peu. Ouvrant la gourde, Anariel se mit au dessus de la souffrante. Lui ouvrant la bouche, elle versa un peu du liquide cristallin et curatif dans son gosier. Se redressant, elle lui chuchota d'avaler le liquide.

- Bois ça, petite. Je t'en supplie, ne quitte pas ce foutu monde comme ça. Avale.

Un gémissement, le massage la faisait horriblement souffrir même si celui ci lui accorder un peu d'air pur, mais pas assez pour la faire tenir...quand celui ci fut arrêter la petite sirène pensa directement que son sauveur avait décider, après avoir compris que ça ne l'aider pas plus que ça, d’arrêter de tenter quoi que ce soit...

Pas assez de force pour refuser d'avaler quoi que ce soit, en sentant le liquide froid parcourir et s'écouler dans sa gorge Myou pensa a une chose...qu'elle s'enfoncée de nouveau dans l'eau et que son sauveur avait abandonner ça cause comme elle l'aurait imaginée...mais ce n'était pas l'eau qu'elle avait pris l'habitude d’avaler, mais de l'eau fraîche et pur, une eau revigorante sans la moindre impureté.

La petite en prit une grande gorgée sans vraiment entendre ce que lui disait la jeune femme, juste deux mots "supplie" et "avale"...une voix de jeune femme, une voix assurée et sincère, une voix de confiance...Myou finis par tousser pour toute réponse, recrachant une partie de l'eau stagnante mêlée a de l'eau pure, puis prestement repris le goulot de la gourde en bouche et continua de boire jusqu'a en presque vider la gourde.

Merci...Mais...pourquoi...

Quelques mots offert comme réponse, Myou ne comprenait pas, c’étais si invraisemblable, pourquoi s'obstinait t’on a vouloir la sauver et la maintenir en vie ? Personne, depuis des années, voir depuis toujours, ne lui avait offert once d'importance a sa vie...cette personne devait être une amie a son maître, personne ne l'aurait fait sans rien attendre en retour...C'étais tellement impossible que la petite fille se remit a pleurer, mais cette fois des larmes d’incompréhension, mêler au bonheur d'être envie...la folie naissais dans le coeur de l’enfant, elle ne comprenait rien a rien a ce qui se passer...

La petite était passé entre la vie et la mort. Le fil qui la maintenait en vie menaçait de céder à tout moment, une lame comme arme de bourreau. Encore un mauvais tour du destin, le dieu des morts ayant décidés de ne plus la laisser vivre. Et voila qu'Anariel, simple humaine et guerrière, venait jouer avec les dieux. Contre le destin, contre le futur. Quelle drole de pensée.

Ca y est, la jeune fille retrouvait ses esprits. La douleur l'avait fais sombrer dans un genre de coma à demi-éveillé. Elle avait sombrée dans un délire, utilisant des mots incrompréhensibles. Elle disait merci. Anariel lui sourit, bien que certaine que sa vision ne soit pas rétablie, tentant de la reconforter.

La suite de la phrase était troublante. "Mais... Pourquoi ?". N'était il pas normal d'aider une personne sur le point de mourir ? En plus, d'une mort atroce et pitoyable ! Du sable, du sang, de l'eau puante. Il serait plus digne de mourir sur un champ de bataille, épée au poing, la tête du dernier vaincu dans l'autre main, en guise de trophée. Heureusement qu'Anariel était ici. Mourir dans un lac pourri et fétide dans les marais, sans que personne ne se sache, sans que personne ne puisse aider la pauvre âme. Triste perspective.

Toujours nue, la guerrière se redressa. Elle s'allongea sur le dos à coté de la jeune fille. Soulagée qu'elle ne soit pas morte, elle soupira longuement. Attrapant la main de la petite demoiselle, elle tenta de lui parler assez tendrement pour qu'elle l'entende.

- Bonjour princesse. Bienvenue parmi nous. Tu peux ouvrir les yeux, la mort n'est pas encore venu. Pas aujourd'hui. Tu as froid ?

La mort avait eu sa chance arrachée, arrachée par la ténacité de la guerrière...Myou ne pu s'empêcher de sourire entre deux inspirations, elle avait le souffle encore couper et tenter de récupérer un peu d’air, nauséabond peut être, mais c'étais de l’air, et non la putrescence que contenait le marais...

J'ai un peu froid...oui...un peu...

La jeune sirène finis par ouvrir ses yeux d’azur, avec mal mais elle y arriva, ceux ci lui faisait encore mal et ça se voyait par la rougeur qui cerner ceux ci...Mais elle se devait de le faire, pour enfin découvrir qui pouvait être sa sauveuse...

Elle tourna lentement la tête et découvrir la jeune femme, une magnifique jeune femme au corps nue et aux longues jambes gracieuse...oui des jambes, quelque chose qui manquait tristement a Myou au font d'elle...

Vous êtes...fatiguer madame...?...Vous soufflez...

En effet la jolie guerrière soupirait ,mais Myou pensée que c'étais par fatigue et non par soulagement...Mais rapidement elle se souvint de la phrase qu'elle avait dit plutôt et qui lui rappela qu'elle avait horriblement froid ,la froideur abyssale de l'eau n'avait pas arranger les choses ,et dans un presque automatisme ,la jeune fille resserra doucement ses doigts autour de la main de la jeune femme...pour se rassurer...et s'assurer que cela n'était pas un rêve que la folie aurait bien pu lui offrir comme dernière volonté...

Ca y est, c'était fini. La petite avait ouvert les yeux, et elle parlait, avec le souffle court certes, mais elle parlait quand même. Tout c'était passé si vite... Le simple temps de la sortir de l'eau et de lui donner à boire n'avait pas pris une minute, bien que tout lui parrut une éternité. L'angoisse devait surement ralentir le temps, en apparence du moins...

La fille avait froid. L'eau était gelé, et le petit vent qui filtrait entre les arbres n'arrangeait rien. Anariel se leva, et alla chercher sa tunique, quelques pas plus loin. Puis, revenant vers sa petite protégée, elle l'appliqua doucement et tendrement sur sa peau, évitant tout contact avec sa poitrine pour ne pas la gener.

Elle était si petite, frêle et belle...

- Non je ne suis pas fatigué. Je suis soulagé que tu ne sois pas parti dans l'autre monde. Et s'il te plait ne me vouvoye pas, j'ai horreur de ça ! Je m'appele Anariel, et toi ? Qu'est ce que tu faisais ici ?

Anariel se mit à genoux à coté de la petite fille, et frictionna son corps avec la tunique pour la rechauffer un peu. Sa nudité ne la gênait pas, ce qui était assez inhabituel. A vrai dire, elle ne l'avait pas plus remarqué que cela...

[HRP : Excuse le peu d'inspiration...
P.S : J'adore ce topic Very Happy

]

[Ne t'en fais pas pour le peu d’inspiration, au contraire j'aime beaucoup ta façon de rp, sincèrement ^^.Et moi aussi j'aime beaucoup ce rp <3.]

Le contacte avec la jeune femme lui fit le plus grand bien, en effet cela lui manquer beaucoup...Elle savait qu'elle l'avait déjà eu, la même sensation, avec sa mère oui...une mère dont elle n'avait plus aucuns souvenir...La petite sirène s'empourpra légèrement en sentant la peau humide mais chaude contre la sienne, lui donnant l'envie de si blottir, de si coller comme pour se rassurer, se rassurer auprès de la chaleur humaine...

Désolée de vous avoir vexée en vous...enfin en te vouvoyant Anariel...Je me nomme Myou...mais je n'ai plus aucuns souvenirs de mon nom de famille...

Quand au fait du pourquoi elle était là ,elle n'osa pas lui répondre au premier abord...c'étais si idiot ,si puéril ,si rabaissant d'avouer qu'elle avait crue a un semblant de liberté en allant dans un tel endroit que lui avait dit d'aller son maître...lui dire qu'elle était en fin de compte une esclave au service d'un propriétaire de cirque ambulant...Mais elle n'arriva pas a lui mentir ,et a contrecoeur ,la gorge nouée et la tête baisser elle lui avoua d'une voix tremblante et faible.

Je...suis une esclave...mon maître m'as offert la liberté d'aller nager un peu autre part que dans ma cage...je pensais un peu m’éloigner, profiter de l'étendue d'eau...m'imaginée pouvoir m'en aller...m'éloigner un temps de ma condition...d'esclave...mais c'étais par pur idiotie en fin de compte...je ne suis qu'une idiote et mon maître vas me punir pour cela...

Myou semblait gêner et timide. Peut-être à cause de la nudité de sa sauveuse ? Myou... Quel jolie nom. Vraiment. Très peu commun aussi... Bizarre qu'elle n'ait plus aucun souvenir de son nom de famille. Mais Anariel savait que sa nouvelle amie ne lui mentait pas, elle n'en était pas capable très certainement.

Ce qui suivit fut plus dure à accepter. Cette petite fille, une esclave ? Quelle horreur. Pourquoi voudrait on prendre à son service une petite fille frèle qui n'était peut-être pas capable de grand chose de très physique. Elle devait surement être victime des envies de son maitre. Les hommes sont vraiment tous des chiens et des porcs. Jusque là, aucun ne lui avait paru plus sincère et bon que les autres...

Cette raclure qui était son maître l'avait laissé se baigner dans une eau froide, malsaine et croupissante. Histoire de la rabaisser un peu plus dans son malheur ou de s'en débarrasser une fois pour toute. Sympa le maitre...

En tout cas, la petite avait été très bien "dompté". Elle acceptait des erreurs qui n'étaient pas les siennes et ne se genait pas de dire qu'elle était elle même idiote. Or, le contraire aurait parru beaucoup plus réaliste. A cet âge la, n'importe qui, même les plus endurcis, ont besoins de liberté.

Sentant au ton de Myou qu'elle était au bord des larmes, Anariel s'approcha d'elle, jusqu'a la toucher, et enroula ses bras autour d'elle. Elle posa sa tête contre le sol, et regarda la jeune fille avec une certaine empathie.

- Ton maître doit être aussi bête que toi, mais au centuple. Ce n'est pas grave, t'inquiète pas. Je vais te tirer de là. Si tu veux, je te trouverai une petite maison en ville. Ou tu pourras même vivre dans mes appartements, que je dois ranger d'ailleurs. Mais pourquoi as tu un maître, Myou ? Veux tu que je m'occupe de cette affaire, que je te rende ta liberté ? Une si belle jeune fille devrait être libre, comme les oiseaux...

Comme un rêve réaliser, la chaleur retrouvée quand sa sauveuse l'enlacer de ses bras elle n'osa pas bougée, comme prise d'une paralysie voulue, comme si elle aurait tant souhaiter être plus souvent dans une tel situation juste pour cela...juste un mouvement...la jeune fille posa faiblement ses mains derrière le dos de la jeune femme...a peine...sans osée se serrer a elle...

Il me tuera et vous tuera si il apprend que moi même ou que quelqu'un d'autre souhaite ma liberté...il a trop besoin de moi...je suis trop utile a lui pour me délaisser ainsi...

Myou fut parcourue d'un frisson soudain ,imaginant son maître si il apprenait ça ,la douleur qu'elle aller devoir endurée ,l'humiliation d'être attachée la tête en bas en plein soleil en pleine place public...non elle ne le souhaiter plus ,plus jamais...

Tout ce qui est anormal attire les gens...tout ce qui est...bizarre...comme moi...

Elle agita légèrement sa queue pour montrée qu'elle était bien là, la jeune femme l'avait déjà sans doutes vue, mais pourquoi ni faisait t’elle pas allusion ? Et pourquoi l'avait t'elle pas considérée comme un monstre en la voyant...comme aurait fait la majorité des personnes, comme faisait le peuple en voyant l'horreur qu'elle était...

Le contact avec la jeune Myou était très agréable. Sa peau était douce et froide. Les seins d'Anariel étaient collés à la jeune fille, mais celle ci n'y préta apparement pas attention. Le bout de ses jambes touchés les écailles de la queue de la sirène. Queue que la guerrière avait vu au moment de sortir la fille de l'eau, et a laquelle elle n'avait preté aucune attention. On ne juge pas les gens en fonction de leur physique, mais en fonction de qui ils sont, et de leurs actes.

Et heureusement qu'Anariel était assez ouverte d'esprit pour penser cela. Un quelconque paysan bête et illetré serait passé devant le lac, aurait sorti la fille de l'eau puis l'aurait laisser crevé comme un animal sur le bord, en voyant sa queue. Peut-être même l'aurait elle violé. Si ces femmes avaient les mêmes choses qu'une humaine entre les jambes...

- Tu n'es pas bizarre. Tu es sublime, gentille. Ce n'est pas ta queue qui va changer quelque chose.

Pour ce qui ai de ton maitre, tu es sur que tu ne veux pas que je lui foute une bonne raclée ? Les personnes de ce genre me répugnent, et même si tu ne le veux pas, j'acheterai ta liberté, ou je le tuerai. A moins que tu aimes ta vie d'esclave...

Anariel, toujours dans les bras de Myou, ressentait un de ces rares moments de bien être intérieur...

[Pour se qui concernes l'organe intime ,Myou en a également un ,au même emplacement que ceux des humaines mise a part qu'il est a la limite de sa queue dans la partie humaine et non dans la partie animal.]

Umi releva sa tête ,dévisageant a nouveau Anariel d'un air implorant mêler par la crainte...une partie de ses cheveux humides effleurant la poitrine de la jeune femme sans qu'elle n'y fasse vraiment attention...

Je souhaite juste...être libre, mais je ne veut pas voir de mort...s'il te plait Anariel...je ne veut pas être présente si tu venais...a le...

Myou ne su plus quoi dire pendant un moment, tout ce qui était morbide, tout ce qui était rapprocher a la mort et a l'obscurité lui faisait peur, même quand il s'agissait de simples mots...Elle se pinça légèrement la lèvre inférieur avant de redéposer son visage contre la naissance de la poitrine de la jeune femme, comme si elle voulait s'imprégnée le plus possible de cette chaleur, sa chaleur...

Ne me quittez pas s'il vous plait madame Anariel, je vous en conjures, emmenez moi avec vous...n'importe sera l'endroit ou vous souhaitez aller je m'y plairais bien mieux qu'ici ou qu'auprès de mon maître...s'il vous plait...s'il vous plait...

Elle s'était remise doucement à pleurer, son visage crisper par les larmes, larmes qui s'était mise inexorablement a coulé contre la peau, la poitrine de la guerrière....

(Navrée pour le petit manque d'inspiration ._.)

Myou était devenu bizarre après la simple utilisation du mot "tuer". Elle était très sensible, et peut-être que quelque chose l'avait traumatisé dans sa jeunesse... Anariel regrettait d'avoir utilisé ce therme, car il n'avait servi qu'a la dégouté, et peut-être la rendre craintif envers elle.

La petite Myou semblait être comme une fille, avec quelque chose de plus peut-être. De l'amour ? Envers une gamine d'a peine quinze ans ? Quelque étrange idée...

En tout cas, la jeune fille semblait à son aise à présent avec Anariel. La tête posée sur le sein de sa sauveuse, elle éclatait en sanglot , implorant la guerrière de ne pas la laisser, de veiller sur elle, de l'emmener avec elle... Tout allait si vite, et il n'était pas facil de prendre une décision aussi rapidement. Mais elle ne pouvait pas la laisser là. Et même si elle n'avait eut aucune pitié, le petit picotement qu'elle ressentait au contact de Myou l'aurait convaincu de la garder auprès d'elle.

Caressant les cheveux de sa petite protegée, elle tenta de la réconforter de sa voix la plus douce possible.

- Ne t'inquiète pas, petite Myou. Tu es libre à présent, tu as droit de ne pas vouloir assister à ce que je ferai à ton bourreau. Et je ne lui ferai rien si tu le souhaites, tu n'as qu'a prononcer quelques mots. Arrete de pleurer, je t'en supplie. je t'emmenerai où tu veux, au bout du monde même si ça te chante, mais arrete de pleurer. Et ne me vouvoye plus par pitié.

Maladie contagieuse, Anariel s'était mise à pleurer à son tour. En sanglot, attachés l'une à l'autre. La guerrière ressera son etreinte un peu plus fort, et baisa le front de Myou, comme pour lui transmettre de sa chaleur...

Dé...désolée...j'ai mal...fais se que tu...veut...se que bon te semble...je te fais confiance...entièrement confiance...car tu es ,pour moi...la seul et unique personne...qui ne c'est jamais...jamais autant attaché a ma vie...

Petit à petit Myou cessa les larmes, avec un certain mal, mal qu'elle adoucissait par la présence de sa sauveuse, sa chaleur, son étreinte...

Mais je ne tiendrais jamais...je suis si faible ainsi...je sent...que je n'ai pas toujours été comme a présent...malgré que je ne me souvienne pas...de ce qu'as été mon passer...pense tu me supporter longtemps ainsi...? Supporter ma faiblesse...celle de mon coeur...celle de mon âme...?

Elle avait relevée son visage, visage désormais désembué de larme, et découvrit sa faute...Anariel pleurée a son tour, elle se sentait si immonde a se moment, immonde d'avoir pu faire souffrir sa sauveuse, de l'avoir rabaissée, elle cette grande et belle femme dont ont aurait pu rien redire, rabaissé au niveau, a son niveau, celui d'une pleurnicharde...

Non s'il te plait...arrête, je suis vraiment désolée...cesse ces larmes je t'en supplie, je ne le voulais pas...pas te faire de mal...

L'étreinte de la jeune sirène se fit plus forte, ses doigts ce crisper désormais contre la peau nue du dos de la jeune femme, comme si elle chercher a la supplier de ne pas lui en vouloir et de cesser ses larmes...supplier se savoir se qui pourrait la réconforté...la calmé a son tour...chose veine de facilité pour une gamine comme elle...

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