Mon nom es Orion. ( pv Zircolvad )

élione c'était installé avec sa famille dans la forêt, ils c'étaient loger près d'une rivière. Elle c'était assise sur le rebord, elle n'avait pas repris sa forme de lion et c'est en humaine qu'elle regarda l'eau couler doucement. Elle était un peu ailleurs, elle pensait à Otome de cette nuit qu'elle avait passée avec elle c'était comme un rêve et en pensant à la succube son coeur s'affola. Les loups de meutes eux était un peu inquiet de l'état de élionne qui était depuis quelques temps dans la lune, les pensées ailleurs le regard lointain. Blakal le loup dominant avait demander à Léanel la louve dominante ce qui ce passait, elle lu dit que c'était affaires entre femelle car elle savait ce qui ce passait chez sa fille adoptive. Léanel vint voir sa fille près de la rivière et lui dit :

" Je te trouve ailleurs c'est temps-ci élione, tu vas bien ? "

élionne sortit de sa rêverie et regarda la louve blanche avec un visage surprit comme si on l'avait tirer d'un beau rêve, elle s'éclaircit la gorge et dit :

" Je vais bien, tu trouve que j'ai la tête ailleurs ? "

Son visage exprimait l'interrogation, on aurait dit une petite fille qui questionne sur les choses de la vie, la louve rigola doucement voyant la tête de élione et lui dit :

" Tu es dans la lune élione, tu ne t'en rend pas compte mais tes yeux sont toujours dans le lointain, tu chantonne d'un air absent, tu n'es plus avec nous, élione je crois que tu es amoureuse "

élione rougit de la tête au pied et regarda Léanel comme si elle l'avait pris en faute. Elle regarda un moment la rivière embarrasser et fustrer, la louve rigola de plus belle et lui dit qu'elle ne fallait pas avoir honte de le dire, élione répliqua :

" Tu dis n'importe quoi Léanel, je...je ne suis pas amoureuse "

La louve rigola chaleureusement, élione vexé croisa ses bras sur sa poitrine et tourna la tête dans la direction opposer à sa mère, la louve lui lécha la joue en lui disant de ne pas faire la tête, pour toute réponse elle lui tira la langue, comme une enfant.

Un craquement de branche et des buissons se mirent à bouger. Le vent se calma brusquement et les loups se mirent sur le qui vive. L’ouïe fine d’Elione pouvait entendre de petit râle comme une personne qui aurait couru pendant des heures durant et qui serait à bout de force. Le bruit se rapprochait doucement puis soudain, une silhouette apparût. Une jeune et frêle jeune femme s’appuya contre un arbre, prise de tremblement. Elle se tenait comme morte de fatigue et ses jambes chancelait à chaque pas. Comme un fantôme, elle avança et Elione pût contempler cette jeune demoiselle à moitié nue et d’une beauté exquise et douce sans aucun maquillage qui tricherait sur sa beauté. Elle ne semblait guère coquette en vérité et ressemblait plus à une tendre guerrière.

Cette dernière tomba sur le ventre et commença à ramper doucement près de la rivière. Ses joues étaient rougies par l’effort et essoufflée. Son joli corps fin aux rondeurs féminines certaines sans être vulgaire s’écorcha quelques peu sur les branches au sol laissant la trace d’égratignure où des perles de sang naquirent. Cette douleur faisait naître des larmes claires qui roulèrent avec grâce sur le visage de la belle. Cependant elle continuait à avancer courageusement.

Puis, au bord de l’eau, son visage se redressa sur Elione et croisa son regard. La jeune inconnue rougit comme honteuse de ce qu’elle était, de son corps presque dévêtue et de la troublante beauté d’Elionne.

Lionne… Aides moi… s’il te plait…

La jeune femme bien que ne connaissant pas le pouvoir d’Elione, l’avait appelé lionne comme si elle la connaissait sous ce nom. Mais bien vite, la main de la demoiselle tomba dans l’eau et son visage rejoignit la mousse de la terre, les yeux mi-clos, appelant la fille aux loups.

élione entendit soudain un bruit suspait, les loups aussi et commencèrent à grogner, élione elle était sur ses gardes, elle entendait quelqu'un approcher mais qui semblait à bout de forces, les pas s'approchèrent et les loups grognèrent de plus belle. élione était près a se battre quand elle vit une belle jeune fille approcher élione rougi du corps presque nue de l'inconnu en vérité cette jeune fille était très mignionne, des courbes gracieuse sans être de trop, de jolie yeux tout pour plaire aux hommes et aux femme d'ailleurs. Elle fit taire les grognement des loups, l'inconnu rampa sur le sol jusqu'a la rivière ou elle s'écorcha sur la terre et du sang perla des ses égratignures. L'inconnu regarda élione elle fut troublé par ses larmes mais n'en montra rien, son visage exprimait la surprise et l'interrogation. L'inconnu demanda de l'aide l'Oréa ce qui la fit réagirent elle la pris dans ses bras la jeune fille épuiser et la porta sur un lit de mousse entre deux racines d'un immense arbre. Elle prit une écorse recourber et alla prendre de l'eau dans la rivière, elle revena vers la jeune fille passa sa main libre sous sa nuque et releva un peu la tête de la jeune blesser pour qu'elle boive et lui dit :

" Buvez vous en avez besion "

Une fois qu'elle bu, son regard se reporta sur le corps presque nu de l'inconnu et rougit, elle enleva sa ceinture, defit sa tunique et la mis sur la jeune fille elle n'avait plus que sa tuniques courte qui arrivait en haut des cuisses cachant son intimité. Elle remis sa ceinture et souffla elle se posait mille questions sur cette jeune fille comment elle savait qu'elle pouvait se transformer en lion, qu'es qui lui était arriver bref beaucoup de questions.

La demoiselle bu lentement à peine consciente mais la tendresse d’Elione la réchauffa. Lorsque l’Oréa posa sa tunique sur la demoiselle, cette dernière la repoussa doucement sans brusquer Elione d’une petit geste de la main…

Non…. Je… Mon corps… Il me brule si je porte d’aventage de vetement…. Seul cette « armure » …. Peut me couvrir…

Les mains gracieuses et fines de l’inconnue se portèrent sur son visage comme si au plus profond d’elle-même elle avait une envie terrible de pleurer. Cependant quelque chose la retenait.

Merci Lionne…

La voix était emplie de trémolos mais d’une finesse et d’une douceur rare. Posant sa mains sur les petites égratignures, un petit rictus de douleur se fit., la peau du ventre et celle d’un sein, à la fois souple fragile portait des équimoses et un peu de sang….
Doucement, la belle recorquevilla ses jambes et blotit sa tête dans ses genoux. Elle ne voulait plus voir le monde, elle voulait se cacher, disparaître…

Lionne… Comment vous appelez vous ?...

La voix était faible à peine un murumure. La brunette au long cheveux soyeux releva à peine la tête comme si elle avait peur de déranger l’Oréa. Cette dernière était grâcieuse, on sentait que la nature n’avait pas été ingrate avec elle. Elle avait un corps fin, taillé pour la course, le déplacement rapide tout en étant d’une exquise féminité. Bien que pourvu de très peu de vetement, ce n’est pas tant la honte que de voir Elionne en tenue légere qui la fit rourir. Ses deux petites pomette rosirent, puis devinrent rouges come une douce gêne. Loin d’être disgracieuse sur l’inconnue, cela la redait touchante et très mignonne.

élione vit que la jeune femme avait repousser son manteau, elle ne s'en offusqua pas puis remarqua les esquimoses sur le corps de la jeune fille. La jeune fille semblait triste et elle se referma sur elle même voulant ce cacher du monde et demanda son nom. élione releva la tête de la jeune inconnu et l'obligea doucement à la regardée plongant son regard saphir dans ceux d'or de la tendre et belle guerrière et lui dit :

" Je me nomme élione mais quand on se présente je préfère voir les yeux et le visage de celui on celle qui me pose la question, surtout quand la personne à qui je parle es très belle et n'a pas à le cacher "

Elle lui sourit puis ceuillie de la mousse et alla à la rivière plongea la mousse dans l'eau froide revena près de la blesser puis coucha la jeune fille pour la soigner, elle passa la mousse gorgée d'eau et passa sur ses égratignures sur ses cuisses, son ventre et ses seins en même temps elle rafraîchit le corps brûlant de la jeune fille. Elle l'avait fait avec délicatesse et tendresse.

Elione était très attentionnée. Elle prenait soin de la jeune guerrière avec une délicatesse touchante. Le regard d’Elione avait troublé la demoiselle. Pouvait-elle seulement elle aussi être aussi franche ? Le corps petit à petit rafraichit la guerrière ne savait trop quoi dire. C’était la première fois qu’on l’allongeait et soignait son corps. L’eau et la douceur de la mousse firent naitre un petit gémissement de plaisir, signe que l’inconnue se détendait. Elle resta allongée un moment puis prit la main d’Elione dans la sienne.

Elione… Vous vous souvenez peut-être avoir rencontré un certain Zircovald Crâne ?

Un silence se fit et la demoiselle s’assis en face de l’Oréa. Elle plongea son regard dans le sien et poursuivit.

J’ai peur de votre réaction si vous apprenez l’étrange secret qui est dans mon cœur Elione. Ce jeune homme en vérité… c’est moi…

Le regard de l’inconnue se fit mélancolique.

Isabella… elle ne cherchait pas à me tuer… mais… à m’humilier… Elle voulait que je ressente ce qu’elle ressentait. Je comprends maintenant. Sa loyauté envers son seigneur est sans faille. Même si son maître est devenu démon Isabella sert son maître et il a dut sans doute la faire violé, l’humilié même si elle était un chevalier. Un démon ne se préoccupe guère de la morale et je crains qu’il éprouve grand plaisir à jouir de son corps celons ses fantasme les plus vile. Isabella n’a plus rien en fait que sa loyauté…. C’est ca qui la retient pour ne pas sombre dans la folie. Elle voulait que je ressente la même chose quelle et aujourd’hui, sa lame m’a maudite…

Zircovald ne savait trop quoi faire, il craignait d'elle le rejet d’Elionne plus que tout. Timidement, elle demanda.

Vous le pensiez ?…. Ce que vous avez dit sur ma beauté féminine… J’ai si peur maintenait….

La demoiselle se retourna laissant un dos finement pâle à la vue d’Elionne. La jeune femme ne pouvait croiser son regard. Elle avait trop honte. Hier paladin, aujourd’hui jeune fille fragile ayant peur qu’un homme puisse avoir une idée charnelle à son sujet. Elionne avait eut un grand cœur et Zircovald ne voulait en demander d’avantage. Pouvait-elle comprendre sa détresse ? Peut-être était-il un monstre désormais à ses yeux…

élione vit que l'inconnu se détendait tant mieux puis elle lui demanda si elle connaissait un certain Zircolvald Crâne, elle réfléchit un instant puis elle se souvint d'avoir entendut que le paladin s'appellait comme cela, elle regarda le paladin ou plutot la paladine avec surprise puis elle lui dit que c'était Isabella qui l'avait maudit, elle était heureuse qu'il soi en vie puis la paladine montra son dos fuyant le regard de élione, élione réagit, réfléchit quelques instant puis enlaça la paladine en mettant sa main sur son front et d'une voix douce :

" Je t'avait dit de faire attention à toi paladin, imbécile va mais je ne te vois pas comme un monstre, tu as su m'accepter tel que j'était quand je me suis transformer en humaine et même en lion tu me parlait d'égal à égal, tu n'a pas à avoir peur, que tu sois une fille, un garçon, un dragon, un orc et autres chose pour moi tu sera toujours Zircolvald Crâne, et oui je te trouve très belle et si mignionne. "

Elle la serra un peu plus contre elle et lui caressa la joue pour apaiser sa peur.

Elione…

La paladine ne savait trop quoi dire. C’était flatteur que l’Oréa la trouve jolie. Prenant de l’assurance, elle s’écarta doucement d’elle et posa son index sur ses lèvres.

Elione… Je ne peux paraître devant vous couvert de sueur et dans cet état et puisque mon corps ne vous dérange pas j’aimerai me laver. Votre regard et vos parles m’on profondément touché. Je n’ai pas peur de paraître nue devant vous.

S’éloignant un peu plus. La jeune demoiselle enleva des brassards de ses petits doigts fins. Puis, elle enleva ses épaulettes. Elle fit glisser ses longues jambières et les déposa soigneusement. Le plus dur était à venir. Passant ses main dans le dos, elle enleva son soutient gorge. Mais tournait le dos à Elione, puis elle se leva et mit les deux majeur sur ses hanches pour les faire glisser en dessous de l’élastique de sa petite culotte et la fit glissée. Ce qui était le plus troublant c’est que la malédiction touchait aussi l’esprit du paladin et ses gestes étaient naturellement féminins et gracieux. Voyant la jeune fille de dos, l’Oréa pouvait voir par intermittence le fessier joliment pommelé de la paladine entre deux balancements de ses très longs cheveux bruns.

La paladine mit doucement un pied dans l’eau puis s’enfonça délicatement. Cependant, au bout de quelques minutes, la jeune fille posa ses mains sur ses seins. Elle avait du mal à s’accepter. Sa peau était aussi douce qu’avant mais c’était étrange de toucher se nouveau corps. Zircovald commença à se frotter la peau un peu puis de plus en plus forte. Elione vit que la peau rougissait, c’était comme si la paladine voulait s’arracher la peau, comme une tache qu’on n’arrivait pas à enlever. Les larmes coulèrent de nouveau sur les jolie joues, seul la présence d’Elione et sa chaleur l’avait apaisé mais là, dans la rivière, elle était nue et l’Oréa sur le rive. La paladine ne pouvait être dans ses bras. C’était si dur de ne plus se sentir étreint dans ses heures sombres. Crispant ses mains sur ses épaules, la jeune fille coula jusqu'à ce que son menton touche l’onde de la rivière.

Qui pourra m’aimer maintenant…. Qui m’accepterait avec cette malédiction… Ma vie est fichue…

Murmurait-elle en pleurant.

La paladine s'écarta de élione et se désabilla, la paladine était vraiment jolie y avait pas dire, elle la regarda ce débattre avec son soutient gorge, elle en fut amuser. Quand elle se baigna élione s'assait sur la rive et la regarda ce laver, elle comprenait que ce nouveau corp était dur un accepter puis la paladine dit que sa vie était fichu. élione réfléchit et entra dans l'eau a son tour elle n'avait que sa courte tunique sur elle ainsi que son diadème, ses haute bottes elle les avait laisser sur la rive vint près de la paladine et essuya ses larmes :

" Je vous interdit de dire cela, votre vie à seulement changer de visage et puis je là moi "

Elle la pris dans ses bras puis s'assit derrière elle et commença à lui frotter le dos pour l'apaiser et la rassurrer.

Elione avait essuyé les larmes de la paladine. Cette dernière rougit en sentant les fines mains dans son dos frotter sa peau nue et douce. Les parole de l’Oréa lui firent un choque dans le cœur de Zircovald et elle se redressa en lui prenant les mains et les écartant de chaque coté de son visage.

Oui, vous êtes là… mais regardez moi Elione. Seriez-vous capable de m’aimer ? D’aimer un être tantôt homme, tantôt femme ? Seriez-vous capable de m’embrasser avec toute la sincérité de votre cœur et de vous unir à moi ? Croyez vous que je puisse toucher votre âme et que vous soyez amoureuse d’in individu comme moi ?

Vous êtes une amie fidele, je n’ai aucun doute là-dessus mais votre cœur serait-il capable d’aller au-delà ?

Relâchant les mains douces de l’Oréa, la jeune femme la regarda tristement. Elione la voyait complètement nue et le corps de la jeune femme était d’une rare beauté même si Zircovald ne l’acceptait que trop mal. Ses seins était rebondit, ni trop gros, ni trop petit avec deux petit mamelon pointu et tendrement rose, un ventre plat avec un joli nombril et la naissance d’un pubis encadré de deux cuisse souple, formant un petit V discret.

Pardon Elione… je ne voulais pas vous blesser avec mes propos, c’est que… Vous me plaisez depuis le premier jour… et depuis que vous avez cru dans votre sommeil que j’étais votre grand frère…

élione fut troubler des propos du Paladin, elle l'écouta jusqu'au bon et rougit quand Zircolvald lui dit qu'elle lui plaisait mais fut blesser aussi et déchirer car elle pensait à Otome celle qui avait fait battre son coeur mais son coeur battait aussi pour la paladine, elle se fichait bien que ce soit une femme ou un homme ou les deux et elle lui dit presque au bord des larmes :

" Je m'en fiche que vous soyer une femme ou un homme ou même les deux Zircovald moi je m'interresse pas à l'apparence mais ce qu'il y a à l'interieur du coeur des gens, pourquoi vous ne pouvez comprendre cela ! "

Elle retint ses larmes mais ferma les yeux son coeur était entre deux eaux, Otome avait su la combler, lui faire oublier sa souffrance mais elle se retrouvait maintenant dans la paladine, des larmes coulèrent et d'une voix triste et supliante.

" Arrêter de dire cela je vous en prie, arrêtez sa suffit...Je deteste vous voir dans cette état"

Elle mis ses mains sur son visage et sanglota, elle ne voulait pas montrer ses larmes à la paladine.

La paladine ne voulait pas la faire pleurer. Elle l’écouta parler et doucement enleva les mains de la belle qui étaient sur son visage pour pleurer. Elle la regarda droit dans les yeux. Son regard doré était embué de larme et d’émotion. Ses joues étaient tendrement rouges.

Doucement, la jeune fille enlaça les mains d’Elionne avec les siennes, croisant tendrement leurs doigts fins. L’eau était calme, à mit cuisse et s’écoulait lentement tandis que les vaguelettes brillaient sous les rayons du soleil qui perçaient le feuillage des grands arbres de la forêt aux senteurs voluptueuse.

Tout semblait s’arrêter et Zircovald avait plongé son regard dans celui d’Elionne, l’admirant. A bout de nerf, trop fatiguer pour retenir son cœur d’avantage, percé de honte d’avoir fait pleurer l’être qui avait été si doux avec elle. La paladine avança son visage et embrassant la tendre Oréa. Les lèvres satinée et féminine se touchèrent comme une plume caressant la peau. Il était vrai que c’était aussi la seule façon que connaissait Zircovald pour embrasser. Un léger frôlement humide, puis, une pression plus forte et fragile. La paladine ferma les yeux lentement tandis qu’elle entrouvrit les lèvres d’Elionne pour venir toucher comme le plus doux des nectars, la langue de l’Oréa. Passant, frôlant avec légèreté cette dernière, un frisson parcouru toute la peau de la paladine et Elione pût le sentir. Cette dernière voulait-elle aussi ce baiser, se laisser bercer par ce moment magique de retrouvaille, laissant leur cœur blessé s’unir un instant ?

élione sentit que la paladine prenait ses mains pour les croiser avec les siennes, l'eau de la rivière coulait sur la peau douce des deux guerrières, une caresse rafraîchissante. élione vit le visage de la paladine ce rapprocher, elle ne fit rien et se laissa embrasser car Zircovald l'avait traiter comme une personne et non pas comme une bête. Elle répondit a se baiser, répondant a cette timide langue qui c'était glisser dans sa bouche, ce baiser était d'une infini douceur, une caresse comme l'eau coulant sur la peau. Élione sentit le frisson de la belle guerrière et frissonna aussi. Le temps semblait c'être arrêter un instant, élione défit sa main droite de celle de la paladine et alla caresser ces long cheveux soyeux, puis élione se sépara des lèvres douce et fine de la paladine et repris son souffle. Elle voulu se déplacer un peu mais elle glissa en arrière et entraîna la paladine avec elle. Élione était allonger dans l'eau, elle ouvrit les yeux qu'elle avait fermer pendant sa chute, et vit la paladine sur elle au lieu de la repousser elle l'enlaça tendrement mais ne dit un mot pour ne par briser ce moment qui pansait leur coeur blessés.

La jeune femme ne dit rien et le baiser se fit plus beau encore puisqu’ Elione semblait l’apprécier. Bien que l’une et l’autre restait muette, la paladine sourit timidement. Elle se sentit soudainement partir dans l’eau avec l’Oréa et se retrouva sur elle.

C’est avec tendresse que cette dernière l’enlaça et Zircovald fit de même, caressant les cheveux blonds qui flottaient doucement. Doucement, la paladine frotta sa joue satinée contre celle d’Elione comme un animal le ferait avec sa compagne. C’était étrange de sentir sa poitrine contre celle de la jeune demoiselle mais Zircovald s’en accommodait. Pour le peu qu’il sentait, Elione avait une peau aussi douce qu’une brise de printemps.

Un instant passa et la jeune brunette chercha de nouveau à embrasser Elione mais différemment. Elle déposait de petits baisers sur ses lèvres et ses joues puis comme les loups, osa une petite léchouille dans le cou. La peau pâle de l’Oréa avait un léger gout sucré très agréable et la jeune fille revint sur le visage d’ange de la guerrière. Elle aimait regarder ses yeux, son visage, sentir son souffle sur sa peau…

élione ce laissait enlacer et toucher pas Zicovald, elle sursauta quand elle lui lécha le cou on aurait un petit loup qui dit boujour à sa mère ou un de ses compagnons, elle fit de même mais lécha la paladine dans le cou tendrement comme un loup pour sa louve, elle aimait ce corps fin et gracieux, sa peau souple et douce comme de la pêche, ses cheveux soyeux comme de la soi, elle fint par dire :

" Isabella vous as doter d'un corps magnique..."

Puis releva seulement le buste et ce remis assise, sa tuniques était trempé et on pouvait voir ses seins sous la tunique, elle carressa le visage de la paladine puis descendit jusqu'au ventre et finit par les cuisses. Elle ferma les yeux et dit:

" vous vous sentez mieux maintenant ? "

Oui.. Je me sent mieux grâce à vous.

La paladine ronronna de plaisir en sentant les fines mains qui caressaient son corps. Les caresses étaient divines et pour ne pas rester de glace, la jeune femme ouvrit doucement un bouton de la tunique puis deux de sa compagne. Elle ne la défit pas completement car ne voulait pas brusquer l’Oréa. Elle pouvait juste voir la naissance des seins pâle et vint doucement blottir son visage sur le sein gauche.

Si vous voulez je… Je vous offre mon corps Elione…

Doucement la paladine fit de fine lechouille sur le peau du sein là ou se trouvait le cœur d’Elione. Chaque petit coup de langue doucement appliqué caressait son cœur avec tendresse. La paladine rougit de plaisir, elle aimait les main de l’Oréa qui parcouraient son corps nu. Elle commençait à faire de même, soulevant la tunique délicatement pour caresser le dos.

élione laissa la jolie paladine défaire sa tunique, laissant voir la naissance de ses seins, elle rougit aux paroles de la paladine et frissona au contact de la langue douce de Zircovald. Elle ferma les yeux pour ressentir les caresses que lui procurait la paladine. Elle ne s'avait quoi faire devait elle accepter ou non, et que dirait Otome, la paladine était un coeur blesser, elle voulait panser ses plaies lui montrer que Zircovald pouvait être aimer comme il es, elle voulait lui rendre ce que le paladin avait su lui donner, accepter élione t'elle qu'elle était. élione pris le visage fin de la paladine dans ses mains, puis l'embrassa tendrement et la serra en même temps dans ses bras.

Zircovald embrassait Elione sans relâche. Elle ne voulait pas d’un simple amour physique, que la jeune fille ressente des sentiments profond et doux.

Se séparant des lèvres doucement la jeune fille reprit.

Elionne… Je… J’aimerai aussi te donner mon corps… Tu comptes beaucoup pour moi.

La paladine défit lentement la tunique d’Elione et cette dernière sentait la jeune femme trembler un peu.

Dis… Si tu ne veux pas… Je ne te force pas… Mais d’un autre côté, je ne veux pas m’unir à toi si tes sentiments pour moi ne sont pas profonds… Je n’aime jamais à la légère, je le fais avec tout mon cœur.

La paladine embrassa de nouveau Elione. Elle avait peur d’un refus. La jeune fille l’avait tellement bouleversé par sa gentillesse et sa beauté. Rien que de penser à sa peau, Zircovald frémissait mais elle ne ferait rien qu’Elionne ne veuille avec ardeur. La paladine mit un genoux dans l’eau et prit la main de l’Oréa et l’embrassa comme une princesse de grande noblesse. La nudité de l’Oré la rendait aussi belle qu’une déesse dans le cadre magique de la forêt. L’eau coulait et scintillait sur elle comme des diamants.

élione ce laissa déshabiller, elle rougit devant sa nudité, elle réfléchit au dire de la paladine, elle ferma les yeux que devait elle faire, que pouvait t-elle faire, l'amour qu'elle ressentait pour Otome grandissait de jour en jour mais elle voulait montrer à la paladine ce que c'est d'aimer, elle se leva et releva la guerrière et lui dit :

" Suis moi "

Puis elle marchèrent un petit moment, avant de voir un immense arbre, elle s'avança écarta les branches des buissons pour découvrir un trou élione s'y engouffra suivit de la paladine. Dans le trou ce trouvait une grotte de bois recouvert de mousses gorgée d'eau et au fond un petit étang à l'eau clair c'était former, l'endroit était paisible et était bercer par une douce lumière. Elle s'assit sur la mousse et fit asseoir la paladine et la regarda dans les yeux :

" Je préfère vous dire avec franchise ce que je ressent. Mon coeur es déjà pris par une succube appeler otome, mon amour pour elle grandit de jour en jour mais je voudrait m'offrir a vous pour deux raison...la première es que je veux vous montrer que je peux vous aimer que vous soyer homme ou femme et la deuxième vous avez veiller sur moi quand j'était inconsciente, vous avez su voir au-delà de mon apparence, à vous de voir si vous voulez de moi après ce que vous es dit mais sachez que si on s'unit, j'y mettrait tout mon coeur, toute mon âme. "

Puis elle regarda Zircovald pour attendre sa réponse.

Otome… Otome Ryuuketsu… Je l’aime aussi…

Ca devenait n’importe quoi, Zircovald avait aimé deux personnes, chose qui le répugnait même si c’était le cas.

Je ne peux vous faire l’amour Elionne. Vous ne me devez rien du tout. Je souhaitais être aimé de vous et de votre âme mais Otome est un fleure fatale dont on ne peut résister. Je n’ai plus cas tuer mon cœur puisqu’il semblerait que vous vous aimiez l’une, l’autre. Comment pouvez vous dire que nous ferions l’amour avec tout votre cœur si vous en aimé une autre ? Si j’avais été sont égale pour vous, je ne dis pas mais certainement la préférez-vous à ma personne.

C’était une douleur atroce. Les deux êtres ayant tout pouvoir sur le cœur de ce demi-garçon s’aimait, il ne pouvait donc y avoir de place pour lui dans les bras de l’une ou de l’autre. La gorge de la paladine se serra mais elle ne voulait qu’aucune larme ne paraisse. L’amour était une chose étrange qui torturait trop.

Je… Je vais partir Elionne…

Rien que l’idée de l’abandonner et de ne plus la voir, Zircovald eut envie de s’arracher les yeux. La paladine se sentait stupide d’avoir eut tant de sentiments pour ses deux beauté. Il était naturel que deux grâces se lient et que le monstre disparaisse.

Je… Je vous aurai aimé… Plus que vous ne l’imaginez…

Elle lui tournait le dos commença à partir.

Ce que entendait élione la surpris au plus au point, elle aussi aimait otome, elle tombait de haut, son monde s'écroula autour d'elle et des larmes coulèrent sur ses joue, elle repensa à la nuit qu'elle avait passer au mot que lui avait dit otome, es que tout était faux ? es que tout avait été qu'un simple rêve ? Les propos blessa encore plus élione, elle regarda la mousse. Des larmes inondait son visage puis elle ne pu ce retenir et cria de douleur tellement elle avait mal, son coeur ce brisa, elle cria à long moment avant de se taire mais ses larmes inondait encore son visage, croyant que la paladine était partit elle cria encore, elle voulait sortir cette douleur dans son coeur, qui l'étouffait, elle souffrait tellement puis d'une voix régit par la souffrance elle dit :

" Pourquoi...."

La paladine ne comprenait pas les larmes d’Elione. Elle allait pouvoir aimer Otome sans que Zircovald n’interfèr, c’était plutôt une bonne nouvelle pour elle.

Pourquoi ? Pourquoi quoi ? Vous allez pouvoir aimer l’élue de votre cœur sans que je vous gène alors pourquoi pleurer ? Etre avec c’elle que vous aimez n’est-il pas le plus important…

L’âme de Zircovald bien que prise dans un tourment de douleurs ne voulait pas voir l’Oréa pleurer. Elle l’aimait malgré elle, malgré qu’elle en aime une autre d’avantage. La paladine revint et enleva les larmes des joue rougit de la demoiselle.

Allons Elione, ai dût juste connaître Otome avant vous mais à mon humble avai, c’est vous qu’elle aime. Mois je n’ai été qu’un passage, un jouet que l’on jette une fois ce dernier utilisé. Elle a sans doute plus d’amour pour vous que pour moi alors pourquoi pleurer. Vous devriez être heureuse qu’elle vous choisisse.

La jeune femme était au bord des larme. Touche, sentitr, voir dans les yeux de la belle était une terrible épreuve car elle l’aimait et elle non. Otome était libertine, il ne fallait pas compter sur sa fidelité et la paladine compatissait à la douleur d’Elione.

Il y aura toujours une grande place dans mon cœur pour vous.

Elle se mise à genoux et prit les deux petite main de l’Oré et frotta sa joue contre doucement. Comme pour la rassurer.

élione pleurait toujours autant, elle avait mal car elle s'en voulait profondément elle aimait Otome mais ne pouvait ce résigner à abandonner Zircovald, de le laisser comme cela, elle ce maudissait de son impuissance. Quand elle sentit la paladine essuyer ses larmes elle releva la tête mais détourna très vite les yeux elle ne pouvait pas croiser son regard, elle commença à ce calmer, sa réaction était extrême certes mais c'était venu comme cela.

" Parce que moi, je n'es pas envie de vous perdre, vous êtes très important pour moi et sa me fait mal que otome comme moi, on vous a fait souffrir je peut me le pardonner. Pourquoi devrait-je vous laisser aux ténèbres ! Je n'es pas envie de choisir si j'en choisit un, je perd l'autre je vois aime tout les deux ! Je suis désolé tellement désolé... pourquoi devrais-je vous laisser vous en aller car je sait que je vous verrez plus et chaque jour même si je suis avec celle que j'aime me rappellera que je vous es perdu, je ne veux pas ! Je vous en prie ne forcer à choisir..."

Ses larmes coulait elle ce sentait si triste et son coeur était déchirer de laisser partir Zircovald pour toujours, elle ne voulait pas ce jouer de lui et était sincère si il s'unissait elle y mettrait tout son coeur, toute son âme mais la paladine n'y croyait pas car elle ce voyait comme un monstre, ce qu'elle n'était pas.

La paladine fût surprise lorsque qu’Elione dit qu’elle les aimait tous les deux. Elle se releva et prit lentement l’Oréa dans ses bras. Doucement, elle caressa le crâne de la jeune femme. Puis elle releva son menton pour la regarder dans ses grands yeux saphir de la belle.

Vous m’aimez donc ?... Je ne vous demande pas de choir mais… Ce pourrait-il par le plus grand des bonheurs que j’ai une place égal à celle d’Otome ici même ?

Elle indiquât le cœur d’Elione en posant sa main dessus lentement pour le sentir battre.

Je ne veux pas être prépondérant sur ce qui vous anime pour Otome mais je ne veux pas être en retrait. Si ma place est à côté delle dans votre âme alors je suis heureux puisque je vous aime aussi l’une l’autre. Ne pleurez plus tendre aimée et qu’un de vos baiser me donne l’espoir que mes dires soient ce que vous ressentez en vous.

Lentement, la jeune femme caressa la joue humide puis tendrement léchouilla les joue d’l’Oréa, attendant fébrilement son avis. Un doigt fin de la paladine vint dessiner les lèvres de la bouche de l’Oréa. Elles étaient comme deux pétales de rose dans la rosé du matin. Les gestes de Zircovald étaient étonnamment doux, aussi fins qu’une aile de papillon qui vous frôlerait la peau. Le parfum des deux jeunes femmes se mélangeait créant une nouvelle senteur sucré comme le pollen des fleurs de printemps. Elione voyait dans le regard d’or de la jeune fille les étincelles d’espoir et d’amour qu’elle avaient pour elle. De ses mots dépendraient tout. Etait-elle capable de l’aimer autant que la succube ? Seul son cœur pouvait de dire. La paladine attendait , les lèvres doucement entrouverte et humide dont un léger petit filet d’air venait caresser le visage d’Elionne.

élione le regarda elle les aimaient toute les deux mais deux amour différent cependant d'égal importance. Elle aimait Otome d'un amour intense et pour Zircovald c'était un amour assez bizarre qui ne pouvait ce nommer mais pour l'instant, elle voulait tout oublier, oublier sa douleur et sa tristesse dans les bras de la paladine. Elle posa sa main sur celle de la paladine qui était poser sur son coeur et l'embrassa tendrement et l'enlaça collant sa poitrine puis s'allongea sur la mousse tendre et mouillé et entraîna la paladine avec elle, la mettant au dessus d'elle et l'embrassa de nouveau sans rien dire car les mots était inutile.

(Désolé un peu court )